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Au sommaire :
1- Amir-Abdollahian : l’Iran défendra la Syrie dans la région avec puissance
Le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour la Syrie, Geir O. Pedersen, s’est entretenu avec l’assistant spécial du président du Parlement islamique d’Iran, Hossein Amir-Abdollahian.
Au cours de cette rencontre, M. Amir-Abdollahian a déclaré que « la République islamique d’Iran salue les efforts de l’ONU pour aider à préserver son intégrité territoriale, sa souveraineté nationale et le retour d’une sécurité durable en Syrie ».
« Ce qui manque dans la situation actuelle en Syrie, c’est l’existence de la méfiance parce que, par exemple, une personne qui jusqu’à récemment était à la tête d’un mouvement terroriste, qui portait une arme et a commis des actes terroristes, insiste à être invité en tant que négociateur en costume-cravate », a ajouté l’assistant spécial du président du Parlement islamique d’Iran.
Source : Tasnim News
2- Un destroyer américain viole la frontière russe près de Vladivostok
Un rapport du ministère russe de la Défense évoque ce mardi la violation de la frontière russe par un destroyer américain. Un navire de la marine russe a été déployé pour le stopper.
« L’Amiral Vinogradov, un grand navire anti-sous-marin de la flotte du Pacifique, a mis fin à la violation de la frontière de la Fédération de Russie par le destroyer John McCain de la marine américaine dans le golfe de Pierre-le-Grand », indique le document.
Ce golfe est situé en Extrême-Orient russe, à proximité de la frontière nord-coréenne, et lorgne la ville de Vladivostok, bastion de la flotte russe sur la côte pacifique.
En 2017, le destroyer lance-missiles USS John S. McCain entre en collision avec le navire marchand Alnic MC près du détroit de Malacca alors que le navire de guerre se dirigeait vers le port de Singapour. « C’est regrettable », a déclaré le président américain, Donald Trump, dans une première réaction à des journalistes qui l’interrogeaient sur cette collision.
Source : Sputnik
3- Une frégate allemande arraisonne un navire turc faisant route vers la Libye
Un navire-cargo turc a été arraisonné puis fouillé en Méditerranée par des militaires allemands dans le cadre d’une mission européenne chargée de contrôler l’embargo sur les armes contre la Libye, annoncent des médias turcs.
Selon l’agence de presse étatique Anadolu, une frégate allemande déployée dans le cadre de l’opération européenne Irini a stoppé dans la soirée du dimanche 22 novembre, au large du Péloponnèse, ce navire turc qui faisait route vers le port libyen de Misrata.
Des soldats armés sont descendus en rappel sur le navire depuis un hélicoptère avant de prendre le contrôle de la salle des commandes. Les militaires allemands ont fouillé le bâtiment toute la nuit, mais n’ont trouvé que des biscuits et de la peinture, a affirmé Anadolu, selon qui le navire transportait du matériel humanitaire.
Source : Sputnik
4- Grèce/Émirats signent un accord d’assistance mutuelle
La formule « les ennemis de mes ennemis sont mes amis » offre une grille de lecture très réductrice des relations internationales. Mais elle convient assez bien pour décrire les rapports entre la Grèce et les Émirats arabes unis, ces deux pays ayant de nombreux contentieux à régler avec la Turquie.
Récemment, le ministre émirati des Affaires étrangères, Anwar Gargash, a vivement critiqué la présence d’une base turque au Qatar, estimant qu’elle ne pouvait qu’être le ferment d’une déstabilisation du Moyen-Orient. Pour rappel, les Émirats arabes unis sont en froid avec Doha, comme d’ailleurs l’Arabie Saoudite et l’Égypte.
Dans ces conditions, et comme les eaux qu’elle revendique sont menacées par la Turquie, la Grèce ne peut qu’avoir un intérêt à se rapprocher des Émirats arabes unis. Ce qui s’est traduit par la signature d’un accord renforçant leur coopération militaire, à l’occasion d’une visite faite la semaine passée à Abu Dhabi par Kyriakos Mitsotakis, le Premier ministre grec.
Source : Opex360
5- L’armée britannique contre les argumentaires anti-vaccins
Selon le Times, le service secret britannique d’interception, le CGHQ (Government Communications Headquarters), a été chargé de contrer sur internet les arguments anti-vaccinaux.
Le gouvernement britannique est en effet persuadé que ce type de message serait insufflé par son ennemi héréditaire, Moscou. Il a donc autorisé ses services secrets à utiliser les outils conçus contre la propagande de Daesh en les adaptant à ce nouvel ennemi. Le CGHQ a la possibilité de perturber des comptes de réseaux sociaux et de répondre anonymement à des forums.
Il n’a cependant pas la possibilité d’intervenir directement sur les comptes basés chez ses alliés des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande et USA). Il agit de concert avec la 77e Brigade de l’armée de Terre créée pour contrer la « propagande russe ». L’unité de 430 hommes travaille avec une équipe d’intervention rapide basée au Cabinet du Premier ministre.
Rappelons qu’aujourd’hui, la Russie procède à une vaste campagne de vaccination contre la Covid-19, mais il n’est pas question que ce médicament soit utilisé en Occident. Au contraire, l’Université d’Oxford met au point un « bon » vaccin pour les Occidentaux.
Source : The Times via Voltaire Net