Supervisant le processus dimanche soir, le directeur de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA), Mohammad Eslami, a déclaré que le soutien du gouvernement avait accéléré la construction des deux réacteurs dans le cadre de contrats d'une valeur de 1,8 milliard d'euros.
« Les travaux de construction des deux réacteurs nucléaires de Bouchehr ont été multipliés par dix par rapport aux années précédentes. Les personnes impliquées dans le projet ont travaillé 24 heures sur 24, en trois équipes », a-t-il ajouté.
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M. Eslmai a également exprimé l'espoir que les travaux de bétonnage commenceront bientôt pour un troisième réacteur nucléaire.
« Nous espérons que la deuxième unité sera achevée et inaugurée dans moins de 5 ans et la troisième unité un an et demi après », a-t-il ajouté.
La centrale iranienne de Bouchehr, d'une capacité de 1 000 mégawatts, a été construite en coopération avec la Russie et officiellement mise en service en septembre 2013.
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Le chef du nucléaire iranien a déclaré que l'installation produisait un total de 60 milliards de kilowattheures (kw/h) d'électricité, dont 7 milliards de kw/h l'année dernière.
Masoud Nasouri, l'ingénieur en charge du projet de construction des deuxième et troisième réacteurs de Bouchehr, a déclaré que les deux unités permettront au pays d'économiser 10 millions de barils de pétrole et 1 600 milliards de mètres cubes de gaz par an et d'éviter l'émission de 7 millions de tonnes de gaz toxiques.
Au cours des dernières années, l’Iran a enregistré de nombreuses réalisations dans son programme d’énergie nucléaire pacifique, en dépit des sanctions américaines ainsi que des obstacles créés par l’Occident.
L’Iran coopère étroitement avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) en tant que signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP).
