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Les terroristes de l'OMK organiseront un rassemblement annuel en Allemagne alors que la France refuse d'accueillir l'événement

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
L’ancien vice-président américain, Mike Pence, et Maryam Radjavi, cheffe de file de l’OMK, se rencontrent dans la ville albanaise de Manza, le 23 juin 2022. ©AFP

La France ayant refusé d’approuver la réunion de l’Organisation terroriste anti-iranienne Moudjahidin-e Khalq (OMK), cette dernière est sur le point de tenir son rassemblement annuel en Allemagne.

Chaque année, les terroristes de l’OMK organisent un événement dans la ville française de Villepinte, près de Paris, avec des participants stipendiés. Mais cette année, leur rassemblement se tiendra à Berlin le 29 juin.

Des rapports indiquent que la France s’est opposée à l’événement alors qu’elle accueillera les Jeux olympiques et paralympiques à Paris plus tard cette année.

Les Jeux olympiques d’été débuteront dans la capitale française le 26 juillet et se termineront le 11 août avant les Jeux paralympiques du 28 août au 8 septembre.

L’OMK est responsable d’une campagne d’attentats à la bombe et d’assassinats en Iran. Sur les près de 17 000 Iraniens tués dans des attaques terroristes au cours des quatre dernières décennies, environ 12 000 ont été victimes des actes terroristes de l’OMK.

La célèbre secte terroriste a également combattu aux côtés des forces irakiennes dans la guerre menée par l’ancien dictateur irakien Saddam Hussein contre l’Iran dans les années 1980.

Malgré ses crimes et ses meurtres, les États-Unis et l’Union européenne ont retiré l’OMK de leurs listes d’organisations terroristes afin de les utiliser comme mandataires contre l’Iran.

Il y a quelques années, des éléments de l’OMK ont été transférés de leur camp d’Achraf dans la province irakienne de Diyala au camp Hurriyet (Camp Liberty), une ancienne base militaire américaine à Bagdad, puis envoyés en Albanie.

Les responsables iraniens ont condamné l’hypocrisie des États-Unis et de leurs alliés européens dans leur soutien au groupe terroriste qui a du sang iranien sur les mains.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV