Les titres de la rédaction :
1.Président algérien: L’Algérie, une citadelle de paix et de sécurité
Le président de la République, chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale, M. Abdelmadjid Tebboune a affirmé, dimanche depuis la wilaya de Djelfa (1ère Région Militaire), que « l’Algérie a toujours été une citadelle de paix et de sécurité, et n’a jamais constitué, depuis son indépendance, une source de menace ou d’agression sur quiconque ».
Supervisant au Polygone de tir et de manœuvres dans la wilaya de Djelfa (1ère Région Militaire) l’exécution d’un exercice tactique avec munitions réelles « Fadjr 2023 », le président de la République a précisé que l’Algérie « a toujours été une citadelle de paix et de sécurité, qui n’a jamais constitué une source de menace ou d’agression sur quiconque, depuis son indépendance ».
« Il n’est un secret pour personne que l’acquisition des moyens de force est une de nos priorités, pour préserver notre souveraineté face aux tentatives de déstabilisation dans notre région », a soutenu le Président Tebboune.
« Nous exploiterons, de la manière la plus optimale, les moyens matériels et humains pour protéger nos frontières, nos positions stratégiques, lutter contre la migration clandestine, le trafic de drogue, et tout récemment le faux-monnayage », a-t-il déclaré.
A cette occasion, le Président Tebboune s’est dit amplement satisfait du niveau atteint par l’Armée nationale populaire (ANP), exprimant ses « félicitations à l’ANP, à son commandement, à ses officiers, sous-officiers et hommes de troupe ».
Source: Al24news
2.Une visite du président Tebboune en France “paraît désormais dérisoire”:
Déjà reportée, la visite d’État du président algérien – qui vient de rencontrer Vladimir Poutine à Moscou – en France à la fin du mois de juin pourrait être à nouveau ajournée, et programmée à l’automne. Une nouvelle illustration des “relations complexes” entre Paris et Alger, estime le chroniqueur Abed Charef.
Elle était supposée constituer un moment fort dans les relations diplomatiques algéro-françaises. Mais la visite, hypothétique, du président Abdelmadjid Tebboune en France, avec la polémique qui l’a précédée sur les demandes de révision de l’accord de 1968, a été totalement déclassée, contrastant avec l’éclat qui a entouré le séjour du chef de l’État algérien en Russie à la mi-juin.
Une visite de M. Tebboune à Paris, en cette fin juin 2023, paraît désormais dérisoire, presque sans objet, tant la visite à Moscou a été mise en lumière.
Source: Courrier international
3.L’Egypte et l’Inde élèvent leurs relations au niveau d’un partenariat stratégique:
Le président égyptien Abdel-Fattah al-Sissi et le Premier ministre indien Narendra Modi, en visite en Egypte, ont signé dimanche une déclaration conjointe pour élever leurs relations bilatérales au niveau d’un partenariat stratégique, a annoncé la présidence égyptienne.
L’élévation du niveau des relations entre l’Egypte et l’Inde reflète leur patrimoine civilisationnel conjoint et leur volonté de promouvoir ces relations, a indiqué Ahmed Fahmy, porte-parole de la présidence.
Au cours de leur entretien, MM. Al-Sissi et Modi ont discuté des façons de promouvoir la coopération dans les domaines de la communication, des technologies de l’information, des industries pharmaceutiques, de l’enseignement supérieur, des énergies nouvelles et renouvelables, du tourisme et de la culture.
Les deux parties ont également évoqué l’élargissement des échanges commerciaux et le développement des investissements indiens en Egypte, a ajouté M. Fahmy.
La visite de deux jours de M. Modi était sa première en Egypte en tant que Premier ministre. Il a par ailleurs invité M. Al-Sissi à prendre part aux réunions du G20 qui devront avoir lieu en septembre à New Delhi.
Source: Al24news
4. Libye : l’émissaire de l’ONU appelle à « surmonter les désaccords persistants »:
L’émissaire de l’ONU en Libye, Abdoulaye Bathily, a appelé à aider les acteurs libyens à travailler ensemble pour le redressement de leur pays, soulignant l’importance que des mesures soient prises pour surmonter « les désaccords persistants ».
S’exprimant, lundi, devant le Conseil de sécurité de l’ONU, Bathily a déclaré que « les critères d’éligibilité aux élections présidentielles, le lien entre les élections présidentielles et parlementaires et la question de la formation d’un nouveau gouvernement unifié sont très controversés et nécessitent, avant tout, un accord politique entre les principales parties prenantes et les principales circonscriptions de l’éventail politique libyen. Faute de quoi, les dispositions législatives connexes resteraient sûrement inapplicables et pourraient même déclencher une nouvelle crise ».
Pour éviter cela, il est « crucial », d’après lui, que « des mesures soient prises pour surmonter les désaccords persistants sur ces questions de longue date ».
« Les principaux décideurs libyens doivent, dans un esprit de compromis, faire passer l’intérêt supérieur du peuple libyen avant tout et parvenir à un accord politique sur ces questions. J’appelle donc ce Conseil à accroître la pression sur les acteurs concernés et à utiliser votre influence collective et individuelle pour veiller à ce qu’ils fassent preuve de la volonté politique requise pour mener leur pays à des élections réussies », a poursuivi le diplomate.
Dans ce contexte, il a réitéré son message constant pour la Libye : « Des élections réussies nécessitent non seulement un cadre juridique, mais également un accord politique qui garantit l’adhésion et l’inclusion de toutes les principales parties prenantes ».
Source: Al24news