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Au sommaire :
1- Un général US capturé par l’armée russe à Marioupol ?
Le 5 avril, deux hélicoptères militaires ukrainiens ont été abattus alors qu’ils tentaient de briser le blocus de Marioupol.
Si l’on considère qu’il ne reste que 50 à 60 hélicoptères pour l’ensemble de l’armée ukrainienne, il s’agit de pertes très importantes pour les forces armées ukrainiennes. Mais les pilotes d’hélicoptères s’obstinent à monter dans la ville. La question est de savoir qui ils essaient tant d’évacuer.
Ils veulent évacuer les commandants nazis d’Azov par les airs, c’est compréhensible. Ensuite, je vous préviens tout de suite, allons sur la voie de la spéculation.
Des officiers de l’OTAN de France, d’Allemagne, de Grande-Bretagne et de la Suède « neutre » sont bloqués à Azovstal, à Marioupol. « Ils contactent les troupes russes en ce moment pour leur demander de les aider à partir, d’organiser un couloir pour sortir », rapporte le journaliste German Vladimirov.
La nouvelle est a prendre avec des pincettes, mais le rapport semble être vrai.
Au moins pendant les exercices d’automne des forces armées ukrainiennes en septembre 2021, il y avait un poste de commandement des troupes d’assaut aéroportées des forces armées ukrainiennes sur le terrain d’entraînement près d’Urzuf (sur la côte de la mer d’Azov, à la frontière des régions de Donetsk et de Zaporizhzhia), et des officiers britanniques, canadiens et suédois s’y trouvaient. Et les unités qui s’y trouvent sont britanniques et suédoises, aux côtés des Ukrainiens de la 36e brigade de Marines.
C’est pourquoi Macron s’agite en appelant Poutine ; en fin Manu a des élections le 10 avril et une avance de 3% sur Le Pen.
Et si la nouvelle qu'il y a des AGENTS de la DGSE sort maintenant juste avant les élections, ce serait très gênant pour la France de Macron - sachant que ce cinglé voulait entraîner la France dans une guerre avec la Russie.
Une autre nouvelle non confirmée, mais basée sur des sources étrangères. Il y a, dans le segment étranger de l’Internet, des informations sur la capture par l’armée russe à Marioupol du lieutenant général de l’armée américaine Roger L. Cloutier. Le Pentagone ne confirme ni ne dément cette information. L’information de base est venue de Kiev d’un Américain qui y travaille et la nouvelle a été publiée sur le portail de l’émission de radio étrangère Hal Turner Radio Show. La nouvelle est trop belle pour être vraie. Mais essayons néanmoins de spéculer.
Si le général se trouvait à Marioupol, il aurait pu assurer la liaison avec le système de transmission de données AWACS, jouer le rôle de conseiller et travailler avec les informations reçues des satellites américains.
Le général a des racines ancestrales françaises, et il existe des preuves solides que des mercenaires de la Légion française opéraient à Marioupol, qu’ils ont été vaincus et que ce qui en restait a été ramené dans la zone portuaire de la ville. Autre élément de preuve, deux instructeurs étrangers ont été retrouvés dans un hélicoptère ukrainien qui n’a pas été évacué de la zone portuaire il y a deux jours.
Les portails français ont commencé à reprendre des informations de GALLIA DAILY sur la mort d’au moins deux compatriotes de haut rang près de Marioupol. Les officiels français nient tout, mais des journalistes chinois se sont rendus sur le site du crash et ont confirmé la présence de documents français sur les corps. Ils montrent que le défunt travaillait pour la DGSE, la Direction générale de la sécurité extérieure de la France.
2- Le patrimoine caché de Jupiter
L’équipe de Jean-Baptiste Rivoire (Off Investigation) vient de mettre en ligne un documentaire sur la manière dont Emmanuel Macron a caché ses revenus de la banque Rothschild dont il fut associé-gérant de 2010 à 2012.
Selon cette enquête, les associés-gérants de Rothschild ont le privilège d’être rémunérés pour un cinquième en France et pour quatre cinquième via des trusts domiciliés dans les îles anglo-normandes. Ces derniers revenus échappent légalement au fisc français.
Cependant lorsqu’il a été élu président de la République, Emmanuel Macron avait l’obligation de déclarer la totalité de son patrimoine afin que l’on puisse identifier d’éventuels conflits d’intérêts. Mais il n’a pas déclaré sa fortune à l’étranger.
Les journalistes ignorent le montant de cette fortune, mais elle devrait être considérable du fait de son rôle dans le rachat des activités de laits pour bébé de Pfizer par Nestlé.
En 2014, après avoir quitté l’Élysée où il était secrétaire général adjoint du président Hollande, Emmanuel Macron avait tenté de s’installer à Londres. Il aurait pu ainsi jouir de sa fortune cachée sans avoir à la rapatrier en France.
Face aux incohérences des déclarations d’Emmanuel Macron, l’association Anticor avait saisi la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Celle-ci, n’ayant presque aucun moyen d’investigation, n’avait rien pu établir. Anticor avait alors saisi la Justice. Mais le Procureur de la République de Paris avait considéré qu’il n’y avait pas lieu à enquêter… vu que la Haute Autorité n’avait rien décelé d’anormal.
Quelques semaines après avoir quitté la chaîne cryptée, Jean-Baptiste Rivoire l’ancien rédacteur en chef adjoint de “Spécial investigation” présente son site d’information indépendant. Et parle du premier épisode d’une série consacrée à Emmanuel Macron, qui sera diffusé le 1er novembre en partenariat avec le site Blast.
Source : Voltairenet
3- Hongrie : l'empire bloqué !
En Hongrie, le Premier ministre Viktor Orban a remporté sa quatrième élection, son parti obtenant à nouveau une majorité des deux tiers. La Hongrie fait partie de l’UE et de l’OTAN, mais Orban a ses propres idées et est un ami de longue date du président russe Vladimir Poutine :
« Alors qu’Orban avait auparavant fait campagne sur des questions sociales et culturelles qui divisaient, il a radicalement changé le ton de sa campagne après l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février, et a présenté l’élection depuis lors comme un choix entre la paix et la stabilité ou la guerre et le chaos.
Alors que l’opposition demandait à la Hongrie de soutenir son voisin en difficulté et d’agir en accord avec ses partenaires de l’UE et de l’OTAN, Orban, un vieil allié du président russe Vladimir Poutine, a insisté pour que la Hongrie reste neutre et maintienne ses liens économiques étroits avec Moscou, notamment en continuant à importer du gaz et du pétrole russes à des conditions favorables.
Lors de son dernier meeting de campagne vendredi, Orban a déclaré que fournir des armes à l’Ukraine, ce que la Hongrie, seule parmi les voisins européens de l’Ukraine, a refusé de faire, ferait du pays une cible militaire, et que sanctionner les importations d’énergie russe paralyserait l’économie de la Hongrie.
« Ce n’est pas notre guerre, nous devons rester en dehors de celle-ci », a déclaré Orban.
La victoire d’Orban rend plus difficile toute nouvelle action de l’UE et de l’OTAN contre la Russie.
Le troisième événement qui est allé hier à l’encontre des intérêts américains a été la réélection du président de la Serbie, Aleksandar Vucic : les instituts de sondage IPSOS et CESID, qui se sont avérés fiables lors des précédents scrutins serbes, avaient prédit que Vucic obtiendrait près de 60% des voix. Si le décompte officiel le confirme, Vucic remporterait un second mandat de cinq ans en tant que président et un second tour ne serait pas nécessaire.
Les sondeurs ont prévu que le Parti progressiste serbe de Vucic remporterait le plus de voix au scrutin parlementaire, avec environ 43%, suivi par le groupe d’opposition Unis pour la victoire de la Serbie, avec environ 13%.
Vucic, un ancien ultranationaliste qui s’est vanté de ses liens étroits avec le président russe Vladimir Poutine, a cherché à se présenter comme un garant de la stabilité au milieu de la tourmente qui fait rage en Europe en raison de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. S’exprimant après le vote à Belgrade, Vucic a déclaré qu’il s’attendait à ce que la Serbie continue sur la voie de la « stabilité, de la tranquillité et de la paix ».
Dans un pays qui a connu une série de guerres dans les années 1990 et un bombardement de l’OTAN en 1999, les craintes d’un débordement du conflit ont joué en faveur de Vucic. Bien que la Serbie cherche officiellement à entrer dans l’Union européenne, Vucic a entretenu des liens étroits avec la Russie et la Chine, comptant sur le ressentiment des Serbes à l’égard de l’Occident après la guerre aérienne menée par l’OTAN en 1999.
Source : reseauinternational.net
4- Gazprom cesse ses activités en Allemagne
La plus grande compagnie gazière au monde, la russe Gazprom, a cessé ses activités en Allemagne le 1er avril 2022, apprend-on le 5 avril.
Avant la guerre en Ukraine, Gazprom exploitait le gazoduc Nord Stream et le chantier de Nord Stream 2. La société fournissait les deux tiers du gaz utilisé en Allemagne, notamment par l’industrie automobile.
Lorsque les Straussiens ont commencé leurs actions contre l’Union européenne en les présentant mensongèrement comme des « sanctions contre la Russie », Moscou a exigé que son gaz soit payé en roubles, ce que les sociétés européennes ont refusé.
Les contrats ayant été rédigés en euros, les clients étaient en droit de s’opposer à ce changement.
Mais Gazprom a alors vendu à bas prix sa filiale allemande responsable de ces contrats. Cette dernière ne recevant que des euros n’a pas pu payer Gazprom en roubles et se trouve au bord de la faillite.
Les sociétés françaises, qui ont également refusé de payer en roubles, ont été protégées par leur gouvernement qui a ordonné aux banques françaises chargées de la transaction de convertir elles-mêmes les euros en roubles avant de transmettre à Gazprom.
L’Allemagne dispose de 3,9 milliards de mètres cubes de gaz en stock. Si cette situation devait se prolonger, son industrie automobile se retrouverait à l’arrêt, son économie nationale s’effondrerait.
Source : Réseau Voltaire
5- MBDA : La France vend à vrac
Le fabricant européen de missiles MBDA a connu une activité record en 2021 porté notamment par un "rattrapage" des exportations après la pandémie, a affirmé mercredi son président Eric Béranger, qui perçoit déjà les effets du conflit en Ukraine.
L'industriel a notamment été porté par la fourniture de missiles pour équiper les Rafale vendus à l'étranger.
Le chiffre d'affaires a grimpé de 16%, à 4,2 milliards d'euros, dépassant "pour la première fois" le seuil des 4 milliards, s'est-il félicité.
Les prises de commandes ont également été massives, à 5,1 milliards d'euros, contre 3,5 milliards un an plus tôt, à la faveur notamment de plusieurs contrats à l'exportation pour équiper de missiles les avions de combat Rafale vendus à la Grèce ou à l'Egypte.
L'entreprise a également obtenu plusieurs contrats de développement. La France et le Royaume-Uni ont ainsi notifié de nouvelles études pour le projet baptisé FMAN/FMC (futur missile antinavire/futur missile de croisière) franco-britannique, un contrat qui s'élève à "plusieurs centaines de millions d'euros", selon Eric Béranger.
Deuxième fabricant mondial
La France et l'Italie ont par ailleurs lancé le développement du Système de défense anti-aérienne de nouvelle génération (SAMP-T) et Paris le développement de la future génération de missile anti-aérien Mica NG. Deuxième missilier mondial, MBDA est codétenu par Airbus (37,5%), BAE Systems (37,5%) et Leonardo (25%).
Le groupe a également obtenu des contrats pour "intégrer", c'est-à-dire rendre utilisables, les missiles air-air Meteor et air-sol Spear sur les F-35 britanniques et le missile anti-aérien Sea Ceptor sur les frégates britanniques Type 31 et Type 45.
Au total, le carnet de commandes fin 2021 s'élevait à 17,8 milliards d'euros.
L'année 2022 se profile bien à la faveur des contrats de vente de Rafale aux Emirats (80 appareils), en Indonésie (42 avions), en Grèce (six appareils supplémentaires) et de la vente de trois frégates à Athènes.
Bonnes perspectives
Et alors que le conflit en Ukraine laisse entrevoir une hausse à venir des budgets de défense en Europe, MBDA "a reçu quelques demandes pour des besoins opérationnels urgents", a-t-il affirmé sans plus de précisions.
"Il y a eu une prise de conscience au niveau européen. Nous percevons une volonté d'investir dans la défense", a ajouté Eric Béranger.
"C'est une énorme opportunité de renforcer l'autonomie et la souveraineté européenne", à condition que ces budgets soient dépensés en Europe et non pour acheter des matériels aux Etats-Unis, selon lui.
Il a également mis en garde contre le risque de sacrifier l'avenir face à un sentiment d'urgence: "Les gens parlent de stocks, de produire davantage de munitions. Il est important de ne pas oublier de développer les futures technologies", nécessaires pour "garantir la supériorité future sur le champ de bataille".
Source : Le Figaro avec AFP