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Le conseil politique du Hezbollah a souligné son opposition au désarment du mouvement

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Mahmoud Qamati, vice-président du Conseil politique du Hezbollah. ©IRNA

Mahmoud Qamati, vice-président du Conseil politique du Hezbollah, affirme que le mouvement de résistance est résolument opposé au désarmement et que l’arme de la Résistance est la force de la patrie et le symbole de la souveraineté libanaise.

Qamati a souligné que l'ennemi sioniste poursuit ses agressions quotidiennes et que « la pression des Etats-Unis et de l'Europe n'aura pas d'impact sur la position du Hezbollah».

Le chef adjoint du conseil politique du Hezbollah a souligné que le mouvement s'est engagé à mettre en œuvre la résolution internationale 1701, alors qu'Israël continue de la violer. 

Le régime israélien a violé à plusieurs reprises le cessez-le-feu au Liban ces derniers jours et ciblé des zones à l'est et au sud du pays avec ses frappes aériennes.

Jeudi, le régime israélien a mené une série d'attaques aux alentours des zones de « Jorud al-Hermel », « Janta » et Shamstar (est du Liban).

L'armée israélienne a affirmé qu'une base militaire appartenant à la force Al-Ridwan du Hezbollah avait été ciblée par ces frappes aériennes.

Le régime sioniste a commencé son agression contre le Liban le 1er octobre 2024, et après deux mois, le mercredi 7 décembre, il a signé un cessez-le-feu avec la médiation américaine.

L'armée israélienne était censée se retirer du Sud-Liban dans les 60 jours, mais le régime, en violation du droit international, a maintenu ses troupes dans cinq positions stratégiques de la région et n'est pas parti. L'armée israélienne a violé l'accord de cessez-le-feu des milliers de fois depuis sa signature.

Depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu au Liban, l'ennemi sioniste a mené des centaines d'attaques de drones similaires dans le sud du Liban, en violation flagrante de cet engagement, au point que le président libanais Joseph Aoun a décrit les attaques du régime sioniste sur le sud du Liban comme un défi pour le pays et la communauté internationale.

Il y a quelques jours, le président libanais a mis en garde dans un discours contre l'agression du régime sioniste contre le sud de son pays, déclarant : « Israël cible des zones civiles dans le sud du Liban sans aucune raison ni excuse. »

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SOURCE: FRENCH PRESS TV