L’inaction persistante de l’ONU face aux crimes de guerre, aux assassinats ciblés et au génocide perpétrés par Israël constitue, selon le diplomate iranien Abbas Araghchi, une « menace sans précédent » pour la paix mondiale.
L’assassinat du Premier ministre yéménite, Ahmad al-Rahawi, et d’autres hauts responsables, lors d’une frappe israélienne sur Sanaa, marque un tournant dramatique. Ce n’est plus seulement la Palestine qui saigne, c’est toute une région qui vacille sous les bombes et l’hypocrisie des discours humanitaires.
Arnaud Develay, analyste politique et juriste, y réagit et propose son éclairage.