Après les frappes conjuguées d’Israël et des États-Unis, l’Iran enterre ses martyrs : 935 victimes, dont des femmes enceintes, des enfants. Un acte de guerre, dénoncé par Téhéran comme une violation flagrante du droit international – mais ignoré par les grandes puissances sionistes et sionisées.
L’attaque du 13 juin marque un tournant dramatique : le régime fantoche d’Israël, soutenu par les États-Unis, a mené une agression militaire intense contre l’Iran, ciblant non seulement des sites militaires, qui font partie de la défense nationale d’un pays souverain, mais aussi des infrastructures civiles et des scientifiques et universitaires.
Dans ce chaos qui bafoue toutes les règles du droit international, l’Iran accuse l’Occident de crimes de guerre et pointe l’inaction des instances internationales, réduites à de simples spectateurs du massacre.
Face à cette « tentative de déstabilisation planifiée », la République islamique a riposté avec fermeté et arrêté l’escalade, tout en maintenant sa vigilance. Mais le coût humain est irréversible, et c’est là que réside le crime le plus impardonnable perpétré par l’axe américano-sioniste impuni.
Le débat de ce samedi 5 juillet se penche sur le massacre d’une partie de l’élite scientifique iranienne par Israël, avec l’intervention d’Ayssar Midani, spécialiste du Moyen-Orient, et de Maître Elie Hatem, juriste et analyste politique.