De nombreux civils innocents ont été tués lors de frappes aériennes et d'artillerie incessantes à Gaza alors que le régime d'occupation poursuit sa guerre génocidaire contre le territoire assiégé.
Les attaques israéliennes ont tué au moins 18 personnes à Gaza au cours des dernières 24 heures, a annoncé, le jeudi 1er mai, le ministère de la Santé de Gaza.
L'une des dernières attaques a visé une maison à l'est de la ville de Khan Younès, dans le sud du territoire palestinien, tuant plusieurs civils et en blessant de nombreux autres.
Dans le centre de Gaza, une frappe de drone sur Deir al-Balah a fait un mort et des dizaines de blessés.
Deux Palestiniens, dont un enfant, ont également été tués lors d'une frappe de drone sur le quartier de Shujaiya, dans la ville de Gaza, tandis qu'une autre attaque de drone a coûté la vie à un civil et fait des dizaines de blessé à Deir al-Balah.
Dans le nord du territoire, une frappe israélienne près du camp de réfugiés de Jabaliya a tué une jeune fille et blessé deux civils.
Des frappes israéliennes antérieures avaient tué plus d'une douzaine de civils à travers la bande de Gaza, notamment dans le quartier d'Al-Mawasi, à l'ouest de Rafah.
Depuis le déclenchement de la guerre génocidaire en octobre 2023, le régime israélien a tué plus de 52 400 Palestiniens, sans oublier plus de 118 000 blessés.
Ce bilan inclut des milliers de civils qui ont perdu la vie depuis la reprise de l'offensive du régime sioniste, le 18 mars.
En novembre 2024, la Cour pénale internationale (CPI) a émis des mandats d'arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et de son ancien ministre des Affaires militaires, Yoav Gallant, pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité à Gaza.
Israël est également poursuivi pour génocide devant la Cour internationale de justice pour sa guerre contre Gaza.