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Hamas : la condition des captifs montre la différence entre l’éthique de la Résistance et la brutalité des sionistes

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les captives israéliennes (de gauche à droite) Emily Damari, Romi Gonen et Doron Steinbracher, sont assises dans un véhicule du Hamas avant d'être remises au Comité international de la Croix-Rouge dans la bande de Gaza le 19 janvier 2025. ©AFP

La situation des prisonniers récemment libérés par le Hamas et Israël met en lumière le comportement des Israéliens à l’égard des prisonniers palestiniens et celui de la Résistance avec les captifs israéliens.

Le Mouvement de résistance palestinien Hamas a publié le lundi 20 janvier un communiqué où il félicite la libération du premier groupe de prisonniers palestiniens par le régime sioniste. Le Hamas déclare que la joie du peuple qui accueillait les prisonniers en scandant des cris de victoire a montré une fois de plus que les Palestiniens sont aux côtés de la Résistance, enracinée dans leurs cœurs.

Faisant la comparaison entre les conditions des prisonniers palestiniens libérés et des trois détenues israéliennes libérées, le Hamas indique dans le communiqué : « Cela révèle la différence entre le bon comportement de la Résistance et la brutalité et le fascisme des occupants. »

Dimanche, après l’entrée en vigueur de l’accord de trêve les deux parties ont libéré un premier groupe de prisonniers et les ont remis à la Croix-Rouge internationale, comme le stipule cet accord.

Sur les images publiées par le Hamas des trois détenues israéliennes, il apparaît clairement qu’elles ont été traitées de manière correcte et dans des conditions convenables par les forces de la Résistance. Les Israéliennes sont retournées chez elles en emportant des cadeaux offerts par le Hamas.

Et pourtant, du côté israélien les choses ont été totalement autres. Les Palestiniens libérés racontent un traitement inhumain infligé contre eux.

Abd al-Aziz Atouneh, un Palestinien libéré, a déclaré à Reuters : « Dans leurs prisons, ils nous frappaient, nous offensaient, nous injuriaient, nous torturaient, parfois même avec du gaz lacrymogène. »

Âgée de seulement 18 ans Rose Khoïs, détenue qui compte parmi les prisonniers palestiniens libérés a dévoilé dans son interview avec Reuters que les gardiens des prisons israéliennes traitaient les Palestiniens comme des animaux.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV