Téhéran a dénoncé l’ONU pour avoir lancé de fausses accusations contre l’Iran, tout en fermant les yeux sur la violente répression des étudiants par la police dans les campus universitaires américains.
Le président de la Commission iranienne des droits de l’homme a critiqué le bureau des droits de l’homme des Nations unies pour avoir lancé de fausses accusations contre l’Iran, tout en fermant les yeux sur la violente répression des étudiants et des universitaires anti-guerre sur les campus aux États-Unis.
De la Californie à New York, de l’Illinois au Texas, la police américaine a effectué des descentes sur les campus universitaires, emportant et emmenant les étudiants ou les battant encore de manière choquante.
Ils ont même arrêté des professeurs, comme Caroline Fohlin, professeur à l’Université Emory en Géorgie, lors de manifestations contre la guerre génocidaire d’Israël à Gaza, qui a tué près de 34 500 Palestiniens et laissé plus d’un million de déplacés et de personnes en souffrance.
Madame Ayssar Midani, intellectuelle et analyste politique, spécialiste du Moyen-Orient, et Maître Elie Hatem, Juriste et analyste politique, interviennent dans le débat de ce mercredi 1er mai pour discuter de cette approche de deux poids, deux mesures.