Un grand nombre de manifestants israéliens, qui se sont réunis samedi à Tel-Aviv pour exiger un accord avec le Hamas, ont bloqué l’Ayalon, autoroute névralgique de la ville.
Selon les médias israéliens, la police s'est heurtée aux manifestants alors que ceux-ci exigeaient la libération des captifs israéliens à Gaza, devant le domicile du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Des centaines de manifestants israéliens ont bloqué samedi 9 mars l’Ayalon, à Tel-Aviv, lors d’une manifestation monstre à laquelle ont participé des milliers de personnes. Un groupe de policiers à cheval a dispersé des manifestants antigouvernementaux qui ont réussi à bloquer partiellement l'autoroute centrale, a rapporté dimanche le correspondant de Sputnik.
D’autres villes dans les territoires occupés ont vu défiler des milliers de personnes contre le cabinet Netanyahu et en faveur d’un accord avec le Hamas, notamment à Qods, Rehovot et Raanana (centre) et Haïfa (nord), selon Yedioth Ahronoth.
À Qods occupée, des manifestants opposés à la guerre à Gaza se sont rassemblés devant la résidence du Premier ministre.
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Vendredi, les colons ont protesté contre la politique du cabinet d’extrême-droite de Netanyahu et l’ont appelé à parvenir immédiatement à un accord et à laisser quelqu'un d'autre conclure l’accord s’il ne pouvait pas le faire.
Samedi, le porte-parole militaire des Brigades Al-Qassam, Abou Obeida, a révélé les noms de quatre prisonniers israéliens tués dans les bombardements israéliens de la bande de Gaza.
Après avoir soigneusement examiné l'identité des captifs tués, Abou Obeida a confirmé samedi dans une brève déclaration la mort d'Itzik Jarat, Alex Densig, Ronin Tommy Angel et Eliyahu Margalit.
