Saïd Pourreza
PressTV, Londres
Des élections partielles dans trois circonscriptions clés d’Angleterre, dites « Blue Wall », contrôlées par le parti conservateur ont commencé, et ce, après que Boris Johnson et deux de ses alliés ont dramatiquement démissionné de leurs sièges parlementaires.
Au cours de ces dernières années, les partis d’opposition ont renversé les circonscriptions dites « Blue Wall », qui votaient traditionnellement pour les conservateurs. La dernière fois, que cela s’est produit l’année dernière, lorsque les libéraux démocrates ont vaincu les conservateurs sous Boris Johnson.
Cette semaine, cependant, le Premier ministre sortant, Rishi Sunak, essaie de soutenir les conservateurs à leurs premières élections dans trois circonscriptions, après que l’ancien patron des conservateurs, Boris Johnson, et deux autres députés conservateurs ont quitté leurs sièges parlementaires.
La pression est incontestable, car les résultats de ces élections, selon les sondages d’opinion, donneront un aperçu de l’opinion des électeurs sur la performance du gouvernement dans la résolution de problèmes majeurs tels que l’inflation la plus élevée du G7, la flambée des taux d’intérêt, la crise du coût de la vie et les délais d’attente record du Service national de la santé (NHS).
Mais la pression n’est pas seulement dirigée contre les conservateurs. Pour le parti travailliste aussi, il y a une pression. La question de savoir si les électeurs pensent qu’il est temps de donner au parti travailliste une chance de résoudre les problèmes auxquels le pays est confronté.
