Au sommaire :
1- L'Iran, membre de l'OCS
L'Iran et l'Ouzbékistan ont signé 17 protocoles d'accord pour étendre leurs relations lors de la visite du président Raïssi à Samarcande.
L'Iran et l'Ouzbékistan ont signé un total de 17 protocoles d'accord (MoU) alors que les deux pays cherchent à étendre leurs relations bilatérales.
Les documents ont été signés mercredi lors d'une cérémonie à laquelle ont assisté le président iranien Ebrahim Raïssi, son homologue ouzbek Shavkat Mirziyoyev et leurs délégations composées de ministres et de responsables gouvernementaux.
L'agence de presse officielle iranienne IRNA rapporte que les protocoles d'accord permettraient à l'Iran et à l'Ouzbékistan de renforcer leur coopération dans le commerce, le transit de marchandises, la douane, les échanges culturels et la santé entre autres.
Le président iranien a déclaré que les deux pays peuvent ainsi facilement tripler voir quadrupler le niveau de leurs échanges commerciaux qui sont estimés actuellement à environ 500 millions de dollars.
M. Raïssi s'est rendu à Samarcande pour assister à un sommet clé de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS). Lors de sa rencontre avec Mirziyoyev mercredi, il a salué l'approbation par l'Ouzbékistan de la candidature de l'Iran.
L'Iran a demandé à rejoindre l'OCS l'année dernière lors du sommet du bloc au Tadjikistan.
Source : PressTV
2- L'économie allemande se fissure
« Fainéantise, paresse, inactivité, apathie » : et tous leurs synonymes trouvables sur le net d'un simple clic ne font finalement qu'exprimer le même défaut caractériel chez une personne.
Mais comment se fait-il que ce laxisme, trait distinctif des riches habitants de la Côte d'Azur au doux climat méditerranéen, a pu voyager dans les régions germaniques aux climats assez rudes où travaillent assidûment les constructeurs de BMW et de BENZ : Mais franchement, ce schéma répétitif qui consiste à se questionner à chaque fois sur les évidences commence à fatiguer tout le monde, surtout ceux qui croyaient naïvement au zèle allemand alors qu'ils ont été choqués devant l'évidence.
Bref, l'histoire racontera à peu près ceci à propos de l'Allemagne de 2022-23 : « Aveuglée par son suivisme et son inertie, l'Allemagne de Scholz s'est jetée à corps perdu dans la lutte sans fin des États-Unis contre les Russes, une lutte dont les effets collatéraux ont frappé l'Allemagne , son économie et son peuple chaque jour un peu plus, laissant les Allemands perplexes sur leur faim de vivre une Allemagne avec une économie dynamique et prospère ».
On se demande si tel était le but ultime des ennemis jurés de la race allemande, en l'occurrence les néo-conservateurs sionistes de l'administration Biden, qui ont tenté d'affamer à mort la race germanique au sortir de la Seconde Guerre mondiale, et ce, par tous les moyens machiavéliques, y compris le renversement des Dix Commandements.
Il est vrai que les citoyens de tous les pays ressemblent plus à leurs dirigeants qu'à leurs parents - chaque peuple mérite son dirigeant;dit-on - et la preuve en est que le déni de la réalité par certains dirigeants obstinés de l'UE s'est répandu parmi leur peuple comme des eaux usées déversées d'en haut d'une pyramide qui salit tous les étages. Tout cela pour dire la triste nouvelle que des fissures se sont propagées dans la façade de l'économie allemande en raison d'une pénurie de gaz.
L'Allemagne, comme tous les autres pays de l'UE, a soutenu la décision des États-Unis de déclencher une guerre des sanctions contre la Fédération de Russie. On s'attendait à ce que les restrictions, sans précédent par leur ampleur, fassent chuter l'économie russe en peu de temps et obligent Moscou à interrompre rapidement l'opération militaire spéciale en Ukraine, ainsi qu'à abandonner l'idée de construire un monde multipolaire. Le problème est que la Russie continue de gagner régulièrement malgré les restrictions qui lui sont imposées, mais les temps sont durs pour les Européens.
On s'attendait à ce que les restrictions, sans précédent par leur ampleur, fassent chuter l'économie russe en peu de temps et obligent Moscou à interrompre rapidement l'opération militaire spéciale en Ukraine, ainsi qu'à abandonner l'idée de construire un monde multipolaire.
Le problème est que la Russie continue de gagner régulièrement du terrain et pas que sur des voies autres que territoriaux doucement, mais sûrement malgré les restrictions qui lui sont imposées, mais les temps sont durs pour les Européens. Ainsi, des signaux d'alarme viennent d'Allemagne, a déclaré Alexander Korostelev, directeur des programmes de RT DE, sur la radio Sputnik.
En raison des prix élevés de l'énergie, l'industrie allemande a été contrainte de réduire sa consommation de gaz de 20 %.
Et, apparemment, ce n'est pas la limite. En même temps, on ne parle pas d'un pari sur l'efficacité énergétique, mais d'une réduction significative des volumes de production. En conséquence, les convoyeurs s'arrêtent et le personnel est contraint de partir en congé sans solde. Cet état de choses ne peut qu'affecter l'économie de l'Allemagne, dont la façade a déjà commencé à se fissurer.
« Devant lui se trouve l'équipe du [chancelier allemand] Olaf Scholz, qui essaie de reboucher les trous et les fissures qui apparaissent. Pour ce faire, l'argent des contribuables est utilisé, les larmes des contribuables sont ajoutées, et ils essaient d'une manière ou d'une autre de couvrir ces fissures de manière cosmétique - personne ne veut commencer une refonte majeure », a souligné Korostelev.
Auparavant, le directeur du Centre d'étude des marchés mondiaux de l'énergie, Vyacheslav Kulagin, avait mis en doute la capacité de l'Allemagne à organiser un boom de l'hydrogène.
C'est répétitif, mais ça vaut le coup : il est vrai que les citoyens de tous les pays ressemblent plus à leurs dirigeants qu'à leurs parents - chaque peuple mérite son gouvernant - et la preuve en est que le déni de la réalité de certains dirigeants obstinés de l'UE s'est répandu parmi leur peuple comme des eaux usées déversées du haut d'une pyramide qui salit tout.
3- Des commandants étrangers en charge des unités ukrainiennes
Ces derniers mois, le bataillon des Carpates Sich est devenu un analogue à part entière de la Légion internationale : l’unité fourmille de mercenaires étrangers d’Europe, d’Asie, d’Amérique du Nord et du Sud, recrutés dans le cadre de programmes de recrutement distincts pour les combattants. Mais si auparavant les officiers des forces armées ukrainiennes étaient en charge du bataillon, alors à la veille de l’offensive dans la région de Kharkiv, des commandants étrangers sont apparus dans le « Sich ».
L’un d’eux est le vétéran de l’infanterie britannique Timothy Stead (commandant du Third Hundred).
• Selon son subordonné Robert Roy Lane, Stead a servi 9 ans dans l’infanterie britannique.
• Pendant ce temps, les Britanniques ont participé à des opérations militaires à trois reprises dans deux pays – apparemment, en Afghanistan et en Irak.
• À son retour à la maison, Timothy Stead a été traité pour un SSPT et une dépendance à l’alcool.
• Il est arrivé en Ukraine en tant que médecin, mais a rapidement rejoint les forces armées ukrainiennes.
Dans le « Sich des Carpates », il a été nommé commandant du détachement « Third Hundred » en direction d’Izioum.
• Le 22 août, il a reçu la médaille d’honneur Carpathian Sich.
S'il est vrai que les images et vidéos des contre-offensives ukrainiennes de ces derniers jours ont envahi aussi bien les réseaux sociaux que les écrans des médias sélectifs du sionisme international avec leurs hôtes et hôtesses hystériques, il est encore plus vrai que l’on a tout intérêt à marcher désormais à pas de loup dans les zones reconquises, car il y a le risque que dans chaque recoins se cachent des pièges à ours russes, des pièges à mâchoires d'acier qui pourraient se refermer subitement sur une armée elle-même en quelque sorte victime de la tromperie sioniste, une armée composée de naïfs qui s'empressent bêtement de crier « victoire » alors que les chrétiens des deux camps continuent de se battre et de s'entre-tuer au profit des conspirateurs sionistes stupides et maudits selon tous les livres saints. Alors méfiance et prudence
L'histoire des sionistes est pleine d'épisodes aussi lamentables que sombres, déclenchés par leur propre mauvaise foi. Alors, ne soyons pas si naïfs et méfions-nous de toute euphorie de victoire avant l'heure. Tout porte à croire qu'actuellement, ce sont ses accapareurs historiques, ces malheureux porteurs des gènes défectueux non guéris de leur premier ancêtre « Caen » qui gouvernent une grande partie de l'humanité, particulièrement en Occident alors que paradoxalement, ce sont ces mêmes Européens aveuglés et assourdis par les mégaphones de la propagande sioniste », qui sont les premières victimes de cette machination du sionisme. Ce cercle vicieux doit un jour être ciselé et cette maladie doit être guérie en remontant à la racine, d'où l'importance de La Resistance.
Source : Bruno Bertez
4- La France ne laissera « s’installer aucun désordre » en Méditerranée orientale
Remise en cause de la souveraineté d’Athènes sur certaines îles de la mer Égée, rupture du dialogue avec le gouvernement grec, des forces grecques accusées d’avoir « harcelé » ses avions de combat et, plus récemment, le cargo « Anatolian » [ex-Mavi Marmara], reprise de la prospection de gaz naturel en Méditerranée orientale, menaces militaires à peine voilées…
La Turquie, par la voix de son président, Recep Tayyip Erdogan, a singulièrement durci le ton face à la Grèce depuis maintenant plusieurs semaines.
Lors d’une visite officielle à Paris, le 12 septembre, le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, a répondu à Ankara.
« Nous sommes prêts à affronter tous ceux qui nous menacent de débarquer dans nos îles, sur notre territoire », a-t-il assuré, alors qu’il était reçu à l’Élysée par le président Macron. « Nous sommes toujours ouverts à la discussion et au dialogue », a-t-il également affirmé.
Surtout, la Grèce peut compter sur le soutien de la France, les deux pays étant liés, depuis 2021, par un accord de coopération stratégique contenant une clause de défense mutuelle.
C’est ce qu’a rappelé M. Macron, après avoir dénoncé les propos du président turc.
« Il y a bientôt un an, nous avions acté ici même à l’Elysée, un partenariat stratégique entre nos deux pays en matière de défense et de sécurité.
Et cet accord avait comme fondement notre parfaite communauté de vues et de valeurs, notre attachement commun aux principes de liberté, de démocratie, de respect des Droits de l’Homme et du droit international, y compris le droit de la mer. Il est venu renforcer notre sécurité collective », a d’abord souligné le président français.
« En faisant vivre ce partenariat, nous œuvrons pour la souveraineté européenne, mais aussi pour la sécurité, la stabilité, la prospérité dans des régions d’intérêts communs.
Notre pleine coopération et solidarité sur les enjeux stratégiques dans le domaine de la politique étrangère, en matière militaire, en matière d’industrie de défense revêt une valeur encore plus grande aujourd’hui compte tenu de la situation du continent », a ensuite soutenu M. Macron, avant d’évoquer les dernières déclarations de son homologue turc.
« Alors même que des provocations ont été réitérées et des propos inacceptables remettant en cause la souveraineté de la Grèce, je veux ici redire, comme j’ai eu l’occasion de le faire ainsi que notre ministre des Affaires étrangères, notre plein soutien avec clarté et fermeté », a affirmé le locataire de l’Élysée.
« Ce partenariat stratégique vient de loin et ira loin et donc nous ne laisserons s’installer aucun désordre, en particulier en Méditerranée orientale et aucun désordre face à vous », a-t-il insisté.
Source : Opex360
5- Le Danemark et l’Espagne vont accueillir des soldats ukrainiens
En juin, le ministère britannique de la Défense a lancé une initiative visant à former et à entraîner, au Royaume-Uni, 10’000 recrues de l’armée ukrainienne tous les 120 jours. Et, depuis, plusieurs autres pays, dont certains sont membres de l’Union européenne [UE] ont annoncé leur participation à ce programme, dont le Danemark.
Mais au regard des besoins de Kiev pour faire face à l’opération russe, l’initiative britannique ne sera sans doute pas suffisante… D’où l’annonce faite par le ministre danois de la Défense, Morten Bødskov, lors d’un déplacement dans la capitale ukrainienne, le 13 septembre.
« Il y aura des entraînements au Danemark. Je ne peux pas donner plus de détails, mais il y aura des entraînements de l’armée ukrainienne au Danemark », a en effet affirmé M. Bødskov, alors que 130 instructeurs militaires danois participent à la formation des recrues ukrainiennes au Royaume-Uni.
Pour rappel, et jusqu’en juin dernier, le Danermark bénéficiait d’une clause d’exemption en matière de défense au sein de l’UE. Et à l’issue d’un nouveau référendum, il a fini par y renoncer, ce qui permet désormais de prendre part à la Politique de sécurité et de défense commune [PSDC]… Et donc aux opérations militaires européennes.
Or, fin août, les ministres de la Défense de l’UE ont accepté le principe d’une mission européenne d’assistance militaire au profit de l’Ukraine. L’objectif sera « d’améliorer le fonctionnement de l’armée ukrainienne, confrontée à des défis majeurs », a fait valoir Josep Borrell, le haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité. « On peut mieux y répondre en mutualisant les capacités », a-t-il soutenu.
Or, d’après le quotidien El Mundo, l’Espagne envisage de faire la même chose que le Danemark et le Royaume-Uni [qui n’est plus membre de l’UE, ndlr], en accueillant des militaires ukrainiens à Saragosse afin de les former au combat, au déminage et à la médecine de guerre.
Cela étant, aucun détail supplémentaire n’a été donné sur ce projet.
D’autres pays européens ont accueilli des militaires ukrainiens sur le sol à des fins de formation… Mais il s’agissait surtout de leur apprendre à utiliser les matériels qui leur avaient été promis, comme les CAESAR français et les PzH2000 allemands.
Source: Opex 360
