Les faibles cherchent toujours le côté le plus fort, mais parfois une erreur dans le choix aggrave la situation. De tous les pays et régimes qui regardent la guerre en Ukraine avec prudence, le régime sioniste est peut-être le cas le plus intrigant. Un cas unique en son genre non pas à cause de l’intelligence, mais à cause de ses politiques stupides qui le poussent au fond de l’enfer à un rythme élevé. Alors que la tension entre la Russie et Israël ne cesse de monter, notamment après la fermeture de l’Agence juive en Russie, les Israéliens ont finalement peut-être décidé de choisir leur camp en vendant des systèmes anti-drones à l’Ukraine attisant ainsi la colère de Moscou.
Selon le site Web l'entreprise israélienne a signalé cependant que la vente était destinée à la Pologne prétendant ne pas savoir que Varsovie agissait en tant qu’intermédiaire pour transférer les armes à Kiev.
Des sources de l’industrie de la défense israélienne ont prétendu que les systèmes anti-drones étaient classés comme « technologie défensive avancée » et n’étaient donc pas approuvés pour la vente à l’Ukraine.
Le régime sioniste avait annoncé qu’il n’avait pas l’intention de livrer des équipements militaires à l’Ukraine par crainte de la Russie. Il semble que cette action du régime sioniste soit une réponse à la fermeture du bureau de l’Agence juive en Russie. Jusqu’à présent, le ministère de la Guerre du régime sioniste n’a pas réagi à cette nouvelle.
Moscou a récemment annoncé que les forces russes avaient infligé de lourdes pertes et pertes aux forces ukrainiennes et ciblé un grand nombre de leurs équipements et positions dans différentes zones.
De plus, l’action d’Israël peut être une sorte d’action de représailles au lien solide entre la Résistance palestinienne et la Russie.
Le chef du Bureau politique du Hamas, Ismaël Haniyeh s’est rendu en Russie. Cette visite de la délégation palestinienne en Russie s’est tenue sur fond de situations régionales et internationales tendues.
À la tête d’une haute délégation, le chef du Bureau politique du Hamas, Ismaël Haniyeh s’est rendu en Russie, le samedi 10 septembre.
« La visite en Russie de Haniyeh et de la délégation l’accompagnant s’est effectuée à la demande du ministre russe des Affaires étrangères, lors de laquelle les responsables de la Résistance palestinienne s’entretiendraient avec des autorités russes en particulier Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères », a annoncé le porte-parole du Hamas Taher al-Nounou.
Il est à noter que de hauts responsables de la Résistance palestinienne ont accompagné Ismaël Haniyeh dans sa visite en Russie, dont le chef adjoint du Bureau politique Saleh al-Arouri, le chef du bureau des relations internationales Moussa Abou Marzouk et l’un des membres du Bureau politique Maher Salah.
Mais la présence de hauts responsables du Hamas au Kremlin intervient alors que les relations entre Moscou et Tel-Aviv sont devenues récemment très tendues. Après l’annonce du soutien du régime sioniste à l’Ukraine contre la Russie, les tensions entre les parties ont atteint leur plus haut niveau.
Affirmant que la guerre en Ukraine a fait perdre au Kremlin le reste de sa confiance en eux, Musayib Naimi a déclaré
Affirmant que la guerre en Ukraine a fait perdre au Kremlin sa confiance en l’Occident, Musyib Naimi un expert politique a déclaré : Moscou avait l’habitude de respecter autrefois certaines lignes rouges non écrites dans la confrontation avec l’Amérique et l’Europe, mais l’insouciance dans le soutien total de l’Occident à l’Ukraine et la livraison incessante d’armes à Kiev ont poussé le Kremlin à abandonner sa mansuétude.
Se référant à la position décisive de la Russie en faveur de la cause palestinienne, l’expert a déclaré qu’Israël avait franchi les lignes rouges de la Russie en soutenant l’Ukraine.
Il indique les facteurs qui ont provoqué la tension entre Israël et la Russie et accru son intensité au cours des dernières années comme suit :
1. La position anti-israélienne de la Russie concernant l’agression israélienne contre les hauteurs occupées du Golan en Syrie et Qods.
2. La riposte ferme de la Russie au régime sioniste en Syrie, y compris le ciblage répété des combattants agresseurs par le système de défense aérienne russe S-300.
3. La fermeture de l’Agence juive en Russie qui a marqué l’apogée de l’affrontement entre les parties.
4. La présence du mouvement de résistance palestinien Hamas à Moscou qui montre la poursuite du conflit de Moscou avec le régime sioniste.