À peine quelques jours après l’attaque au missile du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) contre une base de Mossad à Erbil en Irak, les Israéliens restent convaincu que la République islamique d’Iran n'a pas fini de venger l’assassinat de ses conseillers militaires, ce qui les a contraint d'acheter de grandes quantités de matériel militaire par crainte de l'Iran et du mouvement libanais du Hezbollah.
Des sources hébraïques ont rapporté que Tel-Aviv avait accepté d'acheter de grandes quantités de matériel militaire par crainte de l'Iran et du mouvement libanais du Hezbollah.
L’achat d’équipement militaire du régime sioniste comprend des radars et des missiles intercepteurs pour le système de défense aérienne Dôme de fer d’une valeur des centaines de millions de shekels.
Le comité ministériel du régime sioniste s'est mis d'accord sur cette mesure à destination du nord des territoires occupés à la frontière syro-libanaise afin d'affronter l'Iran et le mouvement libanais du Hezbollah.
À noter que la frappe au missile de dimanche a fait des morts et des blessés chez les officiers du Mossad et a mis à bas le bâtiment du Mossad.
Tel-Aviv a approuvé le plan de renforcement de sa puissance, tandis que le ministre israélien de la guerre, Benny Gantz, a récemment ordonné le développement et la production en masse d'un système laser pour résoudre la faiblesse du système Dôme de fer.
« Le système intervient là où le dôme de fer échoue à intercepter le missile », ont rapporté les médias israéliens.
Lors de la bataille de onze jours de Gaza, la défaillance du Dôme de fer, dont le régime sioniste se vantait, avait donné naissance à l'éclatement d'une polémique dans les cercles sionistes.
L'armée israélienne a récemment admis et de manière officielle l'échec du Dôme de fer à intercepter le drone Hassan du mouvement libanais qui a survolé vendredi 18 février pendant 40 minutes la Palestine occupée.
L’entrée de ce drone dans l'espace aérien de la Palestine occupée a déclenché des sirènes d'alerte dans les colonies israéliennes du plateau du Golan et de la Galilée pour la première fois depuis 2006, avant d'activer le système de défense israélien Dôme de fer impuissant.
À cet égard l'armée israélienne a déclaré dans un communiqué qu'aucun équipement militaire israélien, y compris des chasseurs, des hélicoptères et des systèmes anti-aériens, n'avait été en mesure d'intercepter et de détruire le drone, et que ce dernier était retourné dans son nid au Liban après avoir terminé sa mission.
Dans un communiqué, le Hezbollah libanais a officiellement revendiqué l'opération du drone, affirmant que le drone Hassan avait volé dans le cadre d'une mission de collecte d’information pendant 40 minutes à une profondeur de 70 km sans être pris pour cible dans les territoires occupés.