Moscou a annoncé avoir déjoué une opération terroriste qui avait failli se produire en Russie et ce coup, elle l'affirme, il est dû à la Résistance irakienne. En début de la semaine en effet l'Iran, la Russie l'Irak et la Syrie se rencontraient à Bagdad dans le cadre de ce mécanisme anti terroristes, quadripartite qui fonctionne depuis 2016 déjà et qui permet à toutes les parties d'échangers les donnés radars, satellite, ou les renseignements pour une meilleure lutte contre le terrorisme. Mais depuis puis une autre zone que la Syrie et l'Irak s'ajoute à l'ordre de leur travail, l'Ukraine. Au fait et les Américains l'ont ignoré jusqu'au bout, cette affaire de la mutinerie à la prison de al-Sinaa à Hassaké qu'ils ont monté de toute pièce avec l'aide substantielle des FDS, la Résistance l'a suivi de près et elle a même laissé les Américains faire pour traquer la trace des terroristes et partant les coulisses de l'affaire. car les Américains ont les premiers à savoir que ce genre de tentative de pompage de terroristes ne contribuent plus à changer quoi que ce soit en Irak où les USA sont militairement morts ni en Syrie où ils sont à la merci des missiles et des drones de la Résistance. Tout à l'heure de fortes explosions ont été entendues à al Omar, à la base US dans ce qui ressemble un casus belli total aux USA en Syrie et ce, en coordination avec la Russie qui cette fois a toutes les chances d'y prendre sa part.
« Le service de renseignement militaire irakien a réussi à infiltrer ce groupe terroriste par ses nombreuses sources, cette instance s’est renseigné qu’un élément important de Daech planifiait une attaque armée en Russie, coïncidant avec la tension militaire aux frontières occidentales de la Russie », c’est ce qu’a annoncé une source de sécurité de haut rang ayant gardé l’anonymat.
« Le terroriste, un Syrien qui avait précédemment résidé en Russie, était sous l'œil vigilant des services de renseignement militaires irakiens. Il a rejoint les rangs des terroristes en Syrie, et tenté à plusieurs reprises de pénétrer le territoire russe », ajoute la même source. Et de poursuivre : « Après l'escalade de la tension entre la Russie et l'Ukraine il a réussi à quitter la Syrie. Son retour en Russie quelques jours avant le début de l'opération russe en Ukraine signifiait l’heure zéro pour son opération terroriste sur le sol russe, mais Moscou a été informé de l'affaire pour prendre les mesures nécessaires ».
Ce responsable a indiqué que le renseignement militaire avait fourni cette information au conseiller à la sécurité nationale, Qassem al-Araji, qui à son tour l'a transmise à la partie russe par l'intermédiaire du bureau de coordination du Quartet (qui comprend également l'Iran et la Syrie), de sorte que la partie russe a interagi directement et a pu arrêter ce terroriste. Le 22 février, deux jours avant la guerre, le Service fédéral de sécurité russe a annoncé avoir déjoué une attaque terroriste visant une église orthodoxe en Crimée.
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Un centre de coopération en matière de sécurité a vu le jour en 2015 à Bagdad pour assurer la coordination entre les quatre parties de l'alliance que sont l’Iran, la Syrie, l’Irak et la Russie pour lutter contre le terrorisme. Pour mémoire, la conférence annuelle du centre quadripartite d'échange d'informations et de coordination s'est tenue le vendredi 25 février à Bagdad. Les représentants des quatre pays membres du centre (Syrie, Irak, Russie et Iran) ont passé en revue les réalisations de la lutte contre les groupes terroristes en Syrie et en Irak. Qassem al-Araji ainsi que les représentants de quatre pays membres ont discuté des dernières évolutions en Syrie et à la frontière irako-syrienne, ainsi que des développements sécuritaires dans la région.
Al-Araji a souligné lors de la réunion que les pays amis et frères devraient surveiller les agissements des terroristes dans la région, affirmant que l'Irak ne permet pas aux terroristes d'agir près de ses frontières. Mais le coup de main irakien à Moscou pourrait avoir des répercussions énormes si le conflit en Ukraine s'inscrit dans la durée. La bulle de la DCA que la Russie a créée sur la Syrie ouest et nord ets pourrait ainsi s'étendre jusqu'au nord et l'ouest de l'Irak avec de puissants radars container du S-400. Puis les Irakiens ont remis récemment en état leurs Sukhoi datant de l'époque d'avant invasion 2003 et ces Sukhoi pourrait être remplacés par des chasseurs bien plus pertinents que ces F-16 que les Américains ont abandonné aux Irakiens sans équipements adéquats. D'ailleurs En Irak, le commandement de la défense aérienne a annoncé a souligné que son pays avait la capacité nécessaire pour défendre son ciel.
« L'Irak doit se renforcer dans ce domaine et des efforts sont en cours pour acheter des systèmes de défense avancés », a précisé le commandant de la défense aérienne, le général de division Maan al-Saadi dans une interview vidéo publiée sur le site web du ministère de la Défense. Plus tôt, le commandant de la défense aérienne irakienne avait souligné que l'Irak était actuellement équipé du système de défense aérienne S-300. On ne l'a compris mais il semblerait que le responsable faisait allusion à ce partage d'informations aériennes qui se fait grâce aux radars russes sur les frontières avec la Syrie. « Mais il tente d'acheter le système S-500, qui est plus avancé, alors qu'il existe certains des systèmes les plus sophistiqués dans le monde que recherche l'Irak en doter », avait-il encore affirmé. Et les sanctions anti Russie des USA, Bagdad n'en a-t-il pas peur? Il n'a pas eu peur des sanctions anti Iran et d'ailleurs à force de travailler avec les Iraniens, il sait comment les contourner. pourquoi ne pas refaire le coup avec la Russie?!