Au sommaire :
1-Choïgou en Syrie, pourquoi ?
Les enjeux du déplacement du ministre russe de la Défense en Syrie.
Le déplacement de Sergueï Choïgou en Syrie a « apporté un soulagement » au peuple syrien, selon le représentant du conseil populaire syrien Ammar Assad. Lors de son séjour, le ministre de la Défense a visité les bases militaires russes et s’est entretenu avec le Président al-Assad.
La visite du ministre russe de la Défense en Syrie, le 15 février, a redonné confiance à la société syrienne traversant une période difficile, a déclaré à Sputnik Ammar Assad, chef adjoint de la commission des relations extérieures du conseil populaire de Syrie.
Son arrivée « a été perçue de façon optimiste et a apporté un soulagement aux Syriens, en particulier en cette période difficile » vu la crise ukrainienne, a expliqué le haut fonctionnaire.
En cas d’escalade de tensions, Damas poursuivra son cap traditionnel qui consiste à « soutenir ses alliés » et « à fournir honnêtement une assistance », a ajouté Ammar Assad.
Pourparlers avec Bachar al-Assad :
Le Président syrien a accueilli le ministre russe de la Défense dans la capitale. Sergueï Choïgou et Bachar al-Assad ont abordé « diverses questions de coopération militaro-technique » dans le cadre de la lutte antiterroriste et « l’aide humanitaire russe » à la population de la Syrie, sous sanctions des pays occidentaux.
En outre, M.Choïgou a informé le chef de l’État des exercices de la Marine russe dans la partie orientale de la mer Méditerranée.
Manœuvres en Méditerranée
Le ministre russe de la Défense a surveillé le déroulement des manœuvres navales avec son homologue syrien, Ali Ayoub.
Pour les exercices, plus de 15 navires de guerre et plus de 30 avions et hélicoptères ont été mobilisés, a précisé la Défense russe.
La Russie a notamment envoyé en Méditerranée des avions MiG-31K avec le système de missiles hypersoniques Kinjal et des bombardiers à long rayon d’action Tu-22M3.
Les tâches sont de « rechercher des sous-marins étrangers » et d’« assurer le contrôle de la navigation ».
L’objectif principal consiste à s’entraîner pour protéger les intérêts de la Russie en mer et de contrer les menaces arrivant de la mer et de l’océan, a précisé le département militaire.
Bases de Hmeimim et de Tartous
De plus, M.Choïgou a visité la base aérienne de Hmeimim et celle navale de Tartous.
À Hmeimim, le ministre a inspecté l’infrastructure et a déposé une couronne aux monuments des militaires morts en héros lors des opérations en Syrie.
À Tartous, il a examiné les installations de réparation de navires et a donné l’ordre de continuer de perfectionner l’infrastructure de la base. Sergueï Choïgou a également déposé des fleurs devant la statue à l’amiral Ouchakov.
2-Vente d’armes : la « France muette »
Ventes d’armes : une station du métro parisien renommée « La France muette » par Amnesty International
La station de métro La Muette renommée « La France muette » par Amnesty International,
Des militants de l’ONG Amnesty International ont symboliquement rebaptisé « la France muette » une station de métro parisien, pour demander plus de transparence sur les ventes d’armes de Paris à des pays accusés de violations des droits de l’Homme.
Des militants de l’ONG Amnesty International ont voulu dénoncer le silence du gouvernement français sur ses ventes d’armes ce 15 février, en recouvrant la plaque de la station de métro parisien Muette d’une inscription « la France muette ».
Exigeant davantage de transparence sur les ventes d’armes de Paris à des pays accusés de violations des droits humains, les militants ont également collé des affiches sur lesquelles on pouvait lire « Brisez le silence sur les ventes d’armes françaises » ou « Silence on arme », du nom d’une campagne lancée par Amnesty en septembre 2019.
Amnesty a transmis le 14 février à l’Élysée une pétition signée par quelque 145 000 personnes exigeant du chef de l’Etat Emmanuel Macron « un contrôle effectif et renforcé sur tous les transferts d’armes » et une amélioration de la « transparence du ministère des Armées sur ces questions ».
L’ONG a affirmé qu’elle continuerait de se mobiliser sur le sujet en vue de l’élection présidentielle en avril, a expliqué à l’AFP la présidente d’Amnesty International France Cécile Coudriou. Cesser ces ventes d’armes dès lors qu’il y a des violations graves des droits humains.
La France a ratifié en 2014 le Traité international sur le commerce des armes. « On prévient que ça fait partie de nos demandes d’engagement pour les candidats et les candidates, y compris Monsieur Macron s’il se présente, de respecter vraiment le traité sur le commerce des armes, et donc de cesser ces ventes d’armes dès lors qu’il y a des violations graves des droits humains ou des risques qu’elles se produisent », a poursuivi la présidente d’Amnesty auprès de l’agence de presse.
Amnesty a notamment en tête le Liban et l’Égypte où du matériel de maintien de l’ordre français a été « utilisé dans des répressions tout à fait excessives de manifestants pacifiques », ainsi que les ventes d’armes à l’Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, engagés dans le conflit au Yémen, a expliqué l’ONG.
Source : RT France
3-Le Sultan de la Cinquième Colonne
Une Turquie profondément ancrée dans l’OTAN se dirige vers l’Est, mais pas de la manière dont vous le pensez. La stratégie « Asia Anew » de Erdogan est axée sur la primauté turque et sera probablement en contradiction avec les plans d’intégration de la Chine et de la Russie.
Cette information est tombée comme un coup de tonnerre au milieu d’une discussion productive avec un groupe d’analystes de haut niveau à Istanbul : dans l’ensemble de l’establishment turc – des politiciens aux militaires – plus de 90 % sont pro-OTAN.
Les optimistes eurasiens en Asie occidentale doivent tenir compte de cette dure vérité sur la politique étrangère turque, souvent déroutante. Le « néo-ottomanisme erdoganien » qui traverse le système de gouvernement actuel de la Turquie est profondément colonisé par une psyché de l’OTAN – ce qui implique que toute notion de souveraineté turque réelle pourrait être sévèrement surévaluée.
Et cela jette une lumière nouvelle sur l’éternelle hésitation géopolitique du président turc Recep Tayyip Erdogan entre l’OTAN et l’Eurasie.
Commençons par la médiation proposée par Erdogan dans le drame Russie-Ukraine, ce qui, à toutes fins utiles, signifierait une médiation entre la Russie et l’OTAN.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, n’est peut-être pas celui qui dicte la politique d’Ankara – mes interlocuteurs soulignent que l’homme qui a réellement les oreilles de Erdogan est son porte-parole, Ibrahim Kalin. Néanmoins, les derniers points de discussion de Cavusoglu étaient assez intrigants :
1. Des « sources russes et biélorusses » lui ont dit qu’il n’y aurait pas d’« invasion » de l’Ukraine.
2. L’Occident « devrait être plus prudent » dans ses déclarations « sur une prétendue “invasion” possible, car elles provoquent la panique en Ukraine ».
3. « Nous, en tant que Turquie, ne faisons pas partie d’un conflit, d’une guerre, d’un problème, cependant, toute tension nous affecte tous, l’économie, la sécurité énergétique, le tourisme ».
4. « Nous aurons une conversation téléphonique avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov mercredi [puis] avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba. Nous accepterons volontiers de servir de médiateur si les deux parties sont d’accord. Nous acceptons volontiers d’accueillir une réunion du trio de Minsk ».
5. « Le président russe Vladimir Poutine ne devrait pas fermer la porte. Les Russes n’ont pas de réponse positive ou négative ».
Les efforts d’Ankara pour se positionner en tant que médiateur sont peut-être louables, mais ce que Cavusoglu ne peut pas admettre en public, c’est leur futilité.
Même si Ankara entretient de bonnes relations avec Kiev – avec notamment la vente de drones Bayraktar TB2 – le cœur du problème n’est même pas entre la Russie et l’OTAN, mais entre Moscou et Washington.
De plus, l’offre d’Erdogan avait déjà été écartée par l’opportuniste notoire – et totalement dépassé par les événements – Emmanuel Macron, via sa visite à Moscou, où il a été écarté poliment, mais sans ménagement par Poutine.
Le Kremlin a clairement fait savoir, avant même de formuler ses exigences en matière de garanties de sécurité, que les seuls interlocuteurs qui comptent sont les responsables – comme dans le combo russophobe/néocon/impérialiste-humanitaire qui téléguide l’actuel président des États-Unis.
Source : Réseau international
4-USA : l’industrie française bradée...
« 1,050 milliard d’euros » : le rachat des turbines d’Alstom coûterait le double de leur prix de vente
Contrairement à la communication gouvernementale, le rachat des turbines d’Alstom s’avérerait deux fois plus cher que le prix de vente en 2015 à l’américain General Electric.
De nombreux politiques ont twitté avec le hashtag #ScandaleMacron. Le rachat des turbines Arabelle pour centrales nucléaires coûterait à EDF, entreprise détenue à 80 % par l’État, 1,050 milliard d’euros, selon une information du Canard enchaîné le 15 février.
Cela représenterait selon le journal deux fois le prix de vente en 2015 (585 millions d’euros), lors de l’acquisition de ces turbines passées alors d’Alstom à General Electric (GE). Depuis l’annonce de ce retour des turbines dans le giron français le 10 février à Belfort par Emmanuel Macron, Le Canard enchaîné tourne en dérision la communication de l’Élysée, qui laissait croire qu’EDF allait « payer les turbines Arabelle bien moins cher qu’Alstom ne les avait vendues ».
Si, selon certaines informations parues dans la presse, le montant de rachat est évalué à 240 millions d’euros, le Canard assure de son côté avoir eu la confirmation par des sources d’un rachat à un tarif bien plus élevé que le prix de vente en 2015.
Et le journal satirique d’affirmer qu’EDF va également racheter une « boîte rétrécie [...] d’environ un quart par rapport à ce qu’avait vendu Alstom ».
En effet, GE a exigé qu’une bonne partie de la construction des Arabelle reste sur le sol américain (Amérique du Nord, centrale et du Sud) et « conservera également – et dans le monde entier – la maintenance des turbines des centrales à charbon ». Si Emmanuel Macron érige cette opération rachat en véritable succès, il se dédouane depuis de toute responsabilité quant à la vente de 2015, estimant devant les ouvriers de l’usine de Belfort qu’il n’était à l’époque qu’un « collaborateur » de l’exécutif.
Sauf que, comme le rappelle le Canard enchaîné, Emmanuel Macron était bel et bien ministre de l’Économie quand l’opération s’est faite fin 2014. Pis, l’hebdomadaire précise qu’en tant que secrétaire général adjoint à l’Élysée (entre 2012 et 2014), Emmanuel Macron aurait « mandaté secrètement le cabinet américain A. T. Kearney pour – déjà – étudier la vente d’Alstom à GE ».
Et cette décision se serait faite « dans le dos du ministre de l’Economie Arnaud Montebourg », et du président François Hollande. Tollé au sein de la classe politique. L’article du quotidien n’a pas manqué de susciter les réactions indignées de nombreux politiques, qui ont relayé les informations du Canard enchaîné avec le hashtag #ScandaleMacron. « #ScandaleMacron de bout en bout », a par exemple souligné le député de La France insoumise Bastien Lachaud, étayant dans un tweet : « Il brade Alstom aux Américains.
Il rachète à prix d’or : deux fois plus cher pour une entreprise diminuée d’un quart, tu parles d’une culbute ! Mais à chaque fois, le monde du business prend des commissions. Combien financent ses campagnes ? »
La présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, considère pour sa part qu’« Emmanuel Macron a encore menti aux Français ».
« Le rachat de la filiale d’Alstom va coûter deux fois plus cher à EDF que le prix de vente aux Américains en 2015, alors qu’ils nous ont pillé nos brevets et nos contrats », argumente-t-elle. « Présidente, je ferai toute la lumière sur ce #ScandaleMacron », conclut-elle son tweet. Pour l’eurodéputé et soutien d’Eric Zemmour Jérôme Rivière, « contrairement aux annonces d’Emmanuel Macron, la récupération des turbines Arabelle d’Alstom coûtera le double du prix de vente de 2015 [...] et des conditions pénibles entourent le rachat ». Sans placer le hashtag #ScandaleMacron, le candidat communiste pour 2022 Fabien Roussel se demande « à quoi ça sert d’avoir bossé dans la banque pour être aussi mauvais gestionnaire ? » « Avec moi, c’est fini ! La France ne sera plus vendue à la découpe », poursuit-il dans un commentaire sur les réseaux sociaux.
Source : RT France
5-OTAN/Paris : de l’asservissement !
Un rapport parlementaire évoque l’idée de porter le budget de la Défense à 2,5 % du PIB
Si la Loi de programmation militaire [LPM] 2019-25 a été pour le moment – et globalement – respecté [ce qui est assez rare pour être soulignée], avec une hausse annuelle du budget de la mission « Défense » de 1,7 milliard d’euros, qu’en sera-t-il durant le prochain quinquennat, alors que la trajectoire financière prévoit une progression de 3 milliards d’euros en 2023 et que la Cour des comptes vient d’appeler à un « effort sans précédent » pour remettre d’aplomb les comptes publics, mis à mal par la pandémie et la politique du « quoi qu’il en coûte » ?
En tout cas, dans un contexte où un conflit de haute intensité n’est plus considéré comme une hypothèse d’école, les députés Jean-Louis Thiériot et Patricia Mirallès ont estimé que la remontée en puissance des forces françaises doit évidemment se poursuivre et que, par conséquent, la hausse annuelle prévue de +3 milliards jusqu’en 2025 est « absolument vitale ». Et encore, il ne s’agit que du minimum.
« Sous réserves de rester avec les mêmes ambitions, il y a effectivement un besoin complémentaire de 20 à 30 milliards sur la prochaine LPM. Ce qui mène, grosso modo, au doigt mouillé, à un effort de 2,5 % du PIB. Ce qui nous permettra, sans ambition excessive, d’avoir notre modèle d’armée complet », a expliqué M. Thiériot, lors de l’examen, en commission de la Défense, d’un rapport sur la préparation à la haute intensité, qu’il a coécrit avec Patricia Mirallès.
Pour rappel, l’objectif de la LPM 2019-25 est de porter le niveau des dépenses militaires à 2 % du PIB, conformément aux engagements pris en 2014 auprès de l’OTAN. Certes, cet objectif a été atteint l’an passé, en raison de la forte chute du PIB causée par les mesures sanitaires liées à la pandémie de covid-19. Mais, depuis, l’économie française est repartie de l’avant, son PIB ayant augmenté de +7 % en 2021. Certes, elle n’a pas totalement retrouvé le niveau qui était le sien avant l’épidémie… Mais la tendance est tout de même positive. Reste toutefois l’épée de Damoclès que constitue la dégradation des comptes publics…
Cela étant, lors de la présentation de leur rapport à leurs collègues, Mme Mirallès et M. Thiériot ont livré quelques déficits capacitaires dont souffrent actuellement les forces françaises. Et, pour la plupart, ils sont connus. Ainsi, l’armée de Terre manque de moyens en matière de frappe dans la profondeur et de défense sol-air dans la basse et la moyenne couche. En outre, elle doit renforcer son segment « lourd » [chars de combat, ndlr] ainsi que sa chaîne logistique. Quant à l’armée de l’Air & de l’Espace, le nombre de ses avions de combat est insuffisant. Et ses capacités en matière de transport aérien médian devront être renouvelées [les C-235 n’étant pas éternels]. Et la question des hélicoptères de transport lourd reste posée.
Enfin, le format de la flotte de surface de la Marine nationale est insuffisant et au moins trois frégates de premier rang supplémentaires ne seraient pas un luxe, d’autant plus que ses navires sont relativement sous-armés.
Quoi qu’il en soit, pour M. Thiérot, porter le budget des armées à 2,5 % du PIB n’aurait rien d’extravagant. Et cela, pour au moins deux raisons. La première est que, par le passé, la France a consenti un effort beaucoup plus important pour sa défense, comme durant les années 1960, ou celui était équivalent à 4/4,5 % du PIB, ou encore comme au début des années 1980 [environ 3 %]. « On n’est pas dans des chiffres délirants » et cela « n’a pas empêché la croissance », a-t-il fait valoir.
Et pour cause [et c’est la deuxième raison qu’il a avancée], « “l’industrie défense a un réel multiplicateur keynésien » car « on sait bien qu’un euro investi dans la défense rapporte davantage. Ce n’est pas de l’argent dépensé à fonds perdu d’autant plus que c’est un secteur industriel vital pour la France […] réparti sur tout le territoire et en plus très fort de potentialités duales, c’est à dire permettant à la fois d’avoir l’outil de défense dont on a besoin, mais aussi de développer des technologies qui nous servent sur d’autres marchés », a plaidé le député.
Source : Opex 360
6- L'OMK fait infiltrer des terroristes en France
Des attentats terroristes à l’approche de la présidentielle en France de façon à ce qu’un agent sioniste soit élu avec un slogan de mettre à la porte des Maghrébins, d’inciter à la guerre interconfessionnelle et interethnique et surtout à casser cette dynamique de révolte anti dictature qui tend à envahir les rues de la France ?
Avouons que l’idée paraît géniale à l’Oncle Sam qui depuis l’AUKUS a bien prouvé qu’il s’en fiche royalement des peuples latins d’Europe, y compris d’une France qui a du mal, malgré un régime macrobien à la solde, et sionisé jusqu’à la moelle à « totalement » obéir. C’est un tweet et une info qui nous conduit à maintenir l’hypothèse d’un danger sécuritaire guettant la France.
« Tweet »
« Bonne nouvelle pour l’Iran, mauvaise nouvelle pour Free Iran/Mojahedin du peuple ; la police albanaise a alerté l’ambassade US à Tirana que les Moujahedine du peuple ont trafiqué 400 Moujhaheddin vers la France et probablement des membres de Daech en Europe ».
Déjà des agences albanaises avaient fait état de l’arrestation des membres du groupe terroriste OMK que la France abrite depuis 4 décennies dans la banlieue de Villepinte à Paris pour trafic d’êtres humains, de drogue, ainsi que le blanchiment d’argent.
Le document, adressé à un destinataire diplomatique étranger, porte la signature et le cachet du directeur du département de la police criminelle de la police d’État. Il donne des détails sur un casier judiciaire grave d’infractions, impliquant apparemment des membres d’OMK.
Deux membres d’OMK ainsi que leurs complices albanais et grecs, ont été appréhendés pour implication directe dans la traite des êtres humains suite à une enquête sur l’arrestation le 11 juillet 2021 des principaux membres du gang lors qu’une voiture transportait des citoyens syriens, irakiens et kurdes vers l’Europe. Mais ce tweet là c’est autre chose… Les membres de Daech infiltrés en France à la veille de la présidentielle ? L’État français est-il au courant ? Selon ReportTV, des documents fournis la police d’État montrent des données selon lesquelles de 2019 à 2021, les milices terroristes avaient tenté d’envoyer illégalement en France 400 membres installés dans le Camp Ashraf 3 en Irak.
Mais ce n’est pas tout. Selon les mêmes documents, le 11 juillet 2021, la police albanaise de Durres avait arrêté en flagrant délit dans un véhicule sept immigrants illégaux d’Irak, du Kurdistan et de Syrie qui ont été amenés en Albanie depuis la Grèce pour être envoyés en Europe.
Quelque chose de grave semble se préparer en France…
Source : PressTV français