Cela fait très exactement deux mois que Biden arrivé au terme d’un hold-up électoral à la Maison-Blanche cherche éperdument sa guerre celle qui devrait sauver une Amérique totalement en faille de la prédiction. (Link Austin a perdu sa guerre)
Aussitôt arrivé au Pentagone, LIyod Austin son chef de guerre a jeté son choix sur l’Irak en faisant exploser deux kamikazes en pleine place Tayaran et en provoquant la mort des dizaines de civils.
Parallèlement, le duo Biden-Austin a mis les bouchées doubles en Syrie entre des convois militaires qui arrivent en dizaine par semaine pour y décharger armes et munitions, puis charger à leur bord, blé et pétrole de contrebande à destination de l’Irak d’une part, et ces terroristes daechistes que les officiers US et israéliens relâchent de la prison d’al-Hol à Hassaké avant de les héliporter à Hauran à l’ouest d’al-Anbar de l’autre.
Mais ces agissements servent à quoi ? À al-Anbar, les forces US - agents daechistes - ne cessent de se heurter au rempart d’acier des Hachd al-Chaabi. Idem à Salaheddine à Kirkouk et Diyala. Ce jeudi le quatrième convoi logistique US a été ciblé en l’espace de quelques heures et face aux salves de 24 et de 10 roquettes Arash-4 ayant visé en janvier et février les bases US au Kurdistan et à Ain al-Asad, la frappe ratée du 26 février contre la base de l’Imam Ali de Kateb Hezbollah où 5 des 7 missiles tirés ont été neutralisés par les systèmes de cyber défense de la Résistance ne pèse pas. Surtout que les roquettes de la Résistance ont bien mis au pas les missiles Patriot et C-Ram des troupes US au point que les Yankees ont été forcés de déterrer les vieux Avenger. Mais là encore sans grand succès.
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Biden pourra-t-il tenir en Irak et au Levant ? En réponse, une salve de 7 roquettes tirées contre la base aérienne US de Balad il y a 2 jours, les États-Unis avaient menacé, selon des sources irakiennes, d’attaquer les « lance-roquettes installés dans des villages proches du Tigre » et plus précisément entre Diyala et Salaheddine.
Des drones américains ont survolé mercredi soir la zone située entre al-Khalès et al-Hatamiyah, au sud de Salaheddine. On a bien compris le manège les Américains ayant cherché surtout à contrer les unités d’artillerie de la Résistance activées contre Daech à Diyala.
Le résultat ? Ils n’ont même pas été capables de faire cela ! La plus puissante armée du monde s’en est pris en revanche à la ligne de transmission d’électricité iranienne vers l’Irak. Le ministère irakien de l’Énergie a qualifié dans un communiqué de terroriste l’attaque contre deux pylônes électriques dans la province de Diyala.
Une source de sécurité irakienne a annoncé mercredi qu’un attentat à la bombe a visé une ligne à haute tension électrique en Irak, ce qui a entraîné la suspension de ses services.
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Un officier de la police de la province de Diyala (est) a déclaré que des individus à l’identité inconnue avaient attaqué la ligne à haute tension électrique (Mirsad-Diyala 400 kV), située dans le district d’al-Salam, dans le centre de la province.
Les tours d’acheminement d’électricité font l’objet d’une vague d’attaques répétées depuis de nombreuses années, en particulier dans les provinces de Diyala (est), Salaheddine (nord) et Al-Anbar (ouest). Les autorités accusent souvent les terroristes de Daech d’être à l’origine de sabotages.
Voilà en quoi la Résistance a réduit l’Amérique en Syrie et en Irak : voler du blé et du pétrole ; faire sauter des pylônes électriques... Sa « guerre », le duo Biden-Austin l’a ratée en Syrie et en Irak. Et pour l’heure, il simule une réussite face à la Russie.