Un diplomate iranien de 49 ans a été condamné jeudi 4 février par la justice belge à vingt ans de prison pour avoir prétendument projeté "un attentat qui devait viser un rassemblement d'opposants près de Paris en 2018".
La condamnation intervient alors que le ministre iranien des Affaires étrangères a proposé lors d'une entrevue diffusée sur la chaîne CNN International lundi, que l'Union européenne, signataire de l’accord nucléaire de 2015, joue le rôle de médiateur entre Téhéran et Washington afin de sauver l'accord.
Comment peut-on analyser donc ce verdict ?
Arnaud Develay, juriste international s'exprime sur le sujet.