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Nouveau pétard mouillé anti-Iran à l'approche de la levée de l'embargo anti-iranien

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Un drapeau iranien dans la centrale nucléaire de Bouchehr, lors d'une cérémonie officielle pour le lancement des travaux d'un deuxième réacteur dans l'installation, le 10 novembre 2019. ©AFP

À la veille de la levée de l’embargo sur les armes contre l’Iran, les pays occidentaux qui ont abrité le groupuscule terroriste des Monafeghines ont à nouveau joué leur « carte brûlée » et s’affairent avec leurs marionnettes.

Selon l’accord nucléaire de 2015 et la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU, l’embargo sur les armes contre l’Iran prendra fin dimanche 18 octobre. Les sanctions expirent alors que les États-Unis ont travaillé d’arrache-pied pour les prolonger, et les alliés occidentaux de Washington, pas trop satisfaits de la fin de l’embargo anti-iranien, ont pour une raison quelconque refusé de rejoindre la Maison-Blanche afin de pouvoir continuer à jouer leur rôle habituel de « loup déguisé en mouton ».

Cependant, dans de telles circonstances, la levée de l’embargo contre l’Iran constitue une défaite évidente pour les États-Unis et leurs alliés, qui tentent depuis des années de faire avancer leurs intérêts dans la région en soutenant le projet d’iranophobie.  

Par conséquent, les pays occidentaux, qui ont soutenu le groupuscule terroriste des Monafeghines, dans le but de l’utiliser en cas d’urgence, ont une fois de plus sorti ce pion brûlé et annoncé leurs accusations contre l’Iran par l’intermédiaire des membres de ce groupe terroriste.

Alors que, selon les allégations du régime sioniste, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) aurait mené des inspections en Iran et que ces mêmes inspections ont prouvé le caractère mensonger des affirmations des sionistes, les membres du groupuscule des Monafeghines ont formulé des allégations similaires à l’encontre de l’Iran.

Dans le sens du même projet, deux membres de ce groupe terroriste ont prétendu, lors d’une conférence de presse à Washington, qu’un site nucléaire secret existait à Sorkheh-Hessar, à Téhéran.

« Alireza Jafarzadeh, vice-directeur du NCRI à Washington a montré des images satellites et a déclaré que le site nucléaire de Sorkheh-Hessar, à l’est de Téhéran, est utilisé par l’Organisation de nouvelle recherche pour la défense », a rapporté l’AFP.

Ce membre du groupe terroriste a prétendu que les activités de l’Organisation de nouvelle recherche pour la défense se concentrent sur des explosions expérimentales pour fabriquer des armes nucléaires et enregistrer les résultats de ces explosions par des sismographes.

Il a également affirmé que la RII avait secrètement et illégalement acheté des sismographes militaires sensibles à la Russie.

Ces allégations, juste à la veille de l’expiration de l’embargo contre l’Iran, sont à des fins spécifiques dont la plus importante est de sensibiliser la communauté internationale contre la RII.

Alors que les États-Unis et leurs alliés n’ont pas réussi à prolonger l’embargo sur les armes contre l’Iran et que les allégations du régime sioniste contre Téhéran se sont avérées fausses, un tel complot fomenté par des membres du groupuscule terroriste des Monafeghines, montre que les États-Unis ont les mains vides devant l’Iran.

En outre, la couverture médiatique de ces allégations par les médias occidentaux vise à aider à maintenir en vie un groupuscule qui a déjà perdu sa crédibilité auprès de la nation iranienne.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV