Les casseurs des rues de Téhéran de novembre 2019 ont été qualifiés de "combattants pour la démocratie par son administration. Personne ne le croirait quand il appelle les protestataires américains « criminels » et « vandales ». Difficile aussi pour son conseiller à la sécurité nationale, Robert O’Brein de convaincre qui que ce soit de l'existence des tireurs de ficelles iraniens, chinois et russes dans ces événements : « … Nos ennemis étrangers profitent de la crise actuelle pour provoquer le désordre et nuire à notre démocratie. Nous ne permettrons pas que cela se produise.... Oui, des militants russes peuvent être impliqués, mais j'ai vu qu'un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères attaquait le département d'État. Par conséquent, ce problème vient directement du gouvernement (chinois).... Regardez, l'Iran a certainement été actif dans ce domaine ».
Hey folks, took a tracer found to the face (I think, given my backpack) and am headed into surgery to see if we can save my left eye
— Linda Tirado (@KillerMartinis) May 30, 2020
Am wisely not gonna be on Twitter while I’m on morphine
Stay safe folks pic.twitter.com/apZOyGrcBO
L'Iran n'a pas un si grand poids en Amérique pour pouvoir provoquer un " printemps américain". Ceci étant O-Brian ne dit pas totalement faux : S'il est vrai que personne ne croirait que l'Iran, la Chine ou la Russie soient de quelle que manière que ce soit, impliqués dans la révolte de la masse américaine contre un système pourri, daté et condamné d'avance, il est aussi vrai que sont nombreux ceux des Américains qui ne croient plus à ce que leur économie soit la première du monde et ceci, en grosse partie grâce à la Chine. De la même façon, sont nombreux ceux des Amerloques pour qui l'US Army a fini d'être une " légende vivante", très justement le 8 janvier 2020 quand 13 missiles Fateh 313 se sont battus sur la base d'Aïn al-Asad.