Alors que le Venezuela vient de déployer les batteries de missiles S-300 dans le sud de la capitale, la police vénézuélienne affirme avoir arrêté le directeur de cabinet de Juan Guaido, l’avocat Roberto Marrero.
Le Groupe de Lima, une association d’États américains favorables à Juan Guaido, a immédiatement publié un communiqué exigeant la libération de l’avocat Roberto Marrero, selon des sources vénézuéliennes.
Roberto Marrero dirigeait le recrutement de mercenaires au Guatemala, au Honduras et au Salvador. Ces hommes étaient transférés en Colombie pour y être formés aux actions commandos contre la République bolivarienne, rapporte le Réseau Voltaire.
Roberto Marrero disposait d’un budget quotidien de 500 000 à 700 000 $ prélevé sur les avoirs du Venezuela à l’étranger saisis par les États-Unis et le Royaume-Uni.
Lors d’une conférence de presse, le vice-président vénézuélien Jorge Rodríguez a récemment révélé que l’avocat Roberto Marrero et ses hommes de main préparaient des attentats contre le métro et le téléphérique de Caracas.
Sur fond de cette information, des spécialistes militaires russes récemment venus inspecter le système de production et de distribution d’électricité du Venezuela ont confirmé l’usage de bombes électromagnétiques pour endommager les installations couplé avec des sabotages manuels.
Le président Maduro a directement pointé du doigt les États-Unis comme étant responsables de ces pannes.
Craignant une action de rétorsion russe, le président Donald Trump, a promulgué un décret (Executive Order) pour préparer son pays à une possible attaque électro-magnétique.