Le vendredi 18 mai, l’émissaire du président Poutine, Alexandre Lavrentiev, a annoncé que toutes les forces étrangères, à savoir les Turcs, les Américains, mais aussi « le Hezbollah et les conseillers iraniens », devaient quitter la Syrie.
De son côté, l’ambassadeur russe en poste à Beyrouth déclare que la Russie n’a pas de problème avec la présence iranienne en Syrie. Comment peut-on expliquer cette prise de position au regard de celle prise par l’émissaire du président Poutine ?
Leila Mazboudi, rédactrice en chef de la chaîne de télévision al-Manar, nous répond.