Peu après les déclarations du président américain Donald Trump, dans lesquelles il a considéré l’Iran et la Russie comme responsables de l’attaque chimique contre Douma, par leur soutien au président syrien Bachar al-Assad, et a menacé ce dernier d’une « terrible riposte », l’aéroport militaire T4 à Homs a essuyé des tirs de missiles.
En effet, Donald Trump a promis, le lundi 9 avril, qu’une « décision majeure » serait prise sur la Syrie dans les deux prochains jours.
Nous avons décrypté cette situation avec Fabrice Beaur, expert pour l’ONG EODE.