Le 30e sommet de l’Union africaine a commencé ses travaux le dimanche 28 janvier à Addis-Abeba, capitale éthiopienne.
Une série de réunions du 30e sommet de l’Union africaine se sont déroulées ce matin à huis clos alors que la cérémonie d’inauguration aura lieu juste après la fin de cette série de rencontres.
Sont présents à ce sommet de nombreux chefs d’État du continent africain, ainsi qu’Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, Ahmed Abou el-Gheit, secrétaire général de la Ligue arabe, Mahmoud Abbas, président de l’Autorité autonome palestinienne et Salim Ahmed Salim, secrétaire général de l’Organisation de l’unité africaine, ancêtre de l’Union africaine, de 1989 à 2001.
Muhammadu Buhari, actuel président du Nigeria, prend part à ce sommet alors qu’il était un des grands absents de la dernière édition.
De plus, Salva Kiir, président du Soudan du Sud, assiste au 30e sommet de l’Union africaine alors qu’il était absent lors des récentes éditions, en raison de la crise sévissant dans son pays.
Le sommet de deux jours, ayant pour thème « Remporter la lutte contre la corruption : une voie durable pour la transformation de l’Afrique », abordera les principaux défis des pays africains, tels que le terrorisme, le renforcement des coopérations entre les États africains et les mesures destinées à lutter contre la corruption et les crimes qui en découlent.
Outre plusieurs chefs d’État et de gouvernement des pays africains, participent à ce sommet 400 journalistes et plus de 3 000 représentants et experts venus de divers pays de l’Union africaine.
