Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, vient de déclaré aujourd’hui, vendredi 30 septembre, un an jour pour jour après les premières frappes de l'aviation russe que « les terroristes se seraient rendus maîtres de Damas si la Russie n'était pas intervenue au côté du gouvernement syrien. ».
Peskov a ajouté que la principale leçon à tirer de l'intervention russe était que "ni Daech, ni al-Qaëda, ni le Front al-Nosra ne sont aujourd'hui installés à Damas".
Dmitri Peskov a par ailleurs affirmé que les informations données par l'Observatoire syrien des droits de l'homme sur le nombre des victimes à Alep depuis le début de l'offensive des forces pro-gouvernementales, la semaine dernière, n'étaient pas crédibles.
Les premiers raids de l'armée russe en soutien à l'armée du président syrien, Bachar al-Assad ont commencé le 30 septembre 2015.
Le régime syrien avait à ce moment-là des difficultés à se battre seul contre les terroristes, notamment dans l'ouest de la Syrie.