Le porte-parole de la diplomatie iranienne a souligné que pour l’intervention turque en Syrie, l'autorisation de Damas était indispensable.
Bahram Qassemi a fait allusion à l’appui de la Turquie aux certains groupes rebelles en Syrie, pour dire que tous les pays doivent éviter les approches ambivalentes envers la lutte contre le terrorisme. Ankara a envoyé, fin août, des soldats et des chars dans le nord de la Syrie, pour reprendre la ville de Djarabulus de Daech. La Turquie a attaqué aussi les forces kurdes, soutenues par Washington, qui luttent contre Daesh dans la même région. La Turquie a annoncé que son allié, la soi-disant "Armée syrienne libre" avait libéré des terrains entre Djarablulus et le passage frontalier d’Azaz.