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Accrochage entre al-Nosra et Ahrar al-Cham à Idlib

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les terroristes d'Ahrar al-Cham. ©Al-Alam

À idlib dans le nord-ouest de la Syrie, les éléments affiliés au Front al-Nosra ont pris d’assaut les terroristes du groupe Ahrar al-Cham.

Les terroristes du groupuscule Fatah al-Cham, qui sont mieux connus sous leur ancienne appellation de Front al-Nosra, se sont une nouvelle fois accrochés avec les terroristes d’Ahrar al-Cham dans la province d’Idlib.

Selon le soi-disant Observatoire syrien des droits de l’homme, basé à Londres, le motif de ces affrontements demeure toujours une énigme. Cependant, en s’appuyant sur les aveux du terroriste saoudien Abdullah al-Muhaysani, on peut déduire que la véritable raison se trouve dans le fait que le Front al-Nosra fait obstacle à l’unification des groupes armés en désirant les chapeauter. Autrement dit, ce sont les efforts de ce groupuscule pour dominer les autres groupes terroristes qui ont vraisemblablement déclenché ces affrontements.

Toujours selon le témoignage de ces terroristes, les efforts pour unifier les groupes terroristes se sont soldés par un échec et ce sont les chefs terroristes qui en sont responsables.

La semaine dernière, lors de l’émission intitulée Minbar al-Cham, Abdullah al-Muhaysani avait déclaré que la raison de l’échec de la fusion était multifactorielle, mais que la responsabilité reposait grandement sur les deux groupes terroristes d’Ahrar al-Cham et du Front al-Nosra.

Dans la soirée d’hier, mercredi 18 janvier 2017, le groupuscule Ahrar al-Cham, en tirant prétexte de ce qu’ils ont qualifié de « violation du cessez-le-feu », a annoncé son refus de participer aux pourparlers de paix sur la Syrie à Astana. 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV