Le temps du gros savonnage n’est-il pas venu ? Quatre jours après avoir bombardé à coup du missile air-sol dit de 5e génération ice breaker que le sioniste Raphael a construit entre autres à l’effet d’en vendre à l’Ukraine alors que cette dernière sert désormais de paravent aux frappes des F-18 américains contre la Crimée où une méga base aérienne russe avec 10 avions est déjà partie en fumée tout comme des entrepôts d’armes russes eux aussi sautés suivant le même modus operandi, le nain sioniste en est à menacer carrément Poutine. Ainsi en se vantant d’avoir frappé une prétendue cargaison d’arme iranienne dans le sud de Tartous où des cargos iraniens n’accostent jamais, le site israélien Defense News écrit :
Un avertissement de 5 minutes qu’aurait lancé le nain sioniste au géant russe ?! Et Pourquoi?
Le site poursuit : « Selon les sources israéliennes, c'est la frappe la plus proche de la base russe - et il est difficile d'ignorer le message envoyé par une attaque aussi rapprochée, à un moment où l'Iran et la Russie développent des liens qui inquiètent les responsables israéliens quant à la coopération future. Ces dernières semaines, l'Iran et la Russie ont de plus en plus trouvé un terrain d'entente, les responsables des deux pays exprimant leur volonté d'approfondir leurs liens politiques et économiques.
Les responsables israéliens ont été muets sur la nouvelle coopération, mais la frappe, selon des membres de la communauté de la défense ici en privé, semble conçue pour envoyer un message selon lequel l'Iran ne peut pas compter sur la Russie pour protéger ses actifs en Syrie à l'avenir. Le premier signe de relations croissantes entre Moscou et Téhéran est survenu lorsque la Maison Blanche a déclaré que Téhéran se préparait à fournir à la Russie des drones armés à utiliser en Ukraine. Quelques jours plus tard, le président russe Vladimir Poutine s'est rendu à Téhéran, l'un des rares pays au monde à vouloir accueillir le dirigeant russe depuis sa décision d'envahir l'Ukraine en février. »
Et d’ajouter : « L’armée israélienne estime que les premières livraisons de ces drones iraniens pourraient avoir lieu en septembre, selon des sources, les Russes étant actuellement en Iran pour commencer à s'entraîner à leur utilisation. Mais ce n’est pas tout : Moscou apporte aussi quelque chose à Téhéran. Notamment, le 9 août, un satellite espion iranien baptisé Khayyam a été lancé par un lanceur russe depuis le cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan. L'envoi d'un tel système dans l'espace est un objectif recherché depuis longtemps par Téhéran qui prévoit de mettre en orbite trois autres versions du satellite Khayyam ».
The Antonovskiy bridge was targeted again last night. https://t.co/grjo9S2Qod pic.twitter.com/zHvjVAql8R
— Rob Lee (@RALee85) August 14, 2022
Si on comprend bien le sens de l’article qui est l’une des sources régulièrement citée comme proche des milieux militaire en Israël, l’entité sioniste est là en train de se mesurer à la Russie, de s’ingérer dans leur choix politique et militaire, de lui chercher noise à un moment particulièrement crucial pour les Russes, non seulement en Europe où ils font face à l’un des pires complots de toute l’histoire qui implique directement Israël mais encore en Méditerranée orientale où le nain sioniste chercherait ni plus ni moins à cibler leurs bases militaires qu’on sait être des points d’attache de la Russie dans ce qui est son grand projet énergétique reliant la Méditerranée à la mer noire. Au fait et si on se souvient de Karish, ce gisement gazier libanais qu’Israël veut exploiter illégalement quitte à en pomper le gaz vers l’Europe, ce sentiment mégalomane d’être de taille à faire face à la Russie, a aussi un volet énergétique puisque l’entité se croit capable et ce à la faveur des gisements gaziers offshore palestiniens, libanais et même égyptiens être de taille à doubler les Russes sur le marché de gaz en Europe. Or ce culot semble même gagner en ampleur depuis que le gourou Lapid e a été propulsé à la tête de l’entité et qu’il fait la peau dure même à une décision aussi catégoriquement fatale pour l’avenir d’Israël à savoir la fermeture de l’Agence juive.
C’est un fait que les petits faisant semblant de jouer dans les cours des grands, les Grands ne s’abaissent point à leur rang quitte à choisir des moyens punitifs indirects. Et c’est visiblement le cas dans le cas du duo Israël-Russie. Alors même que la presse régionale ne fait que parler d’agissements irano-hezbollahi, une source militaire haut placée dénonce les incartades sionistes au Golan.
Le chef adjoint du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, le contre-amiral Oleg Jouravleva, a annoncé que les chars israéliens avaient délibérément violé la zone tampon dans le Golan syrien occupé.
Il a déclaré à la chaîne RT : « Les forces israéliennes ont délibérément violé la ligne de barrière, ligne qu’elles n’ont pas le droit de traverser en vertu de leurs engagements et conformément à la résolution 350 du Conseil de sécurité publiée le 31 mai 1974. » Un char de l’armée israélienne a été d’abord conduit de Tal al-Fars vers la région d'al-Sabah puis vers la région d'Ain Aisha, et après s'être arrêté une dizaine de minutes dans la zone et avoir pointé son arme vers l'armée syrienne derrière la ligne « Bravo», il a quitté la zone, a-t-il souligné. Le haut gradé russe précise que les forces israéliennes visent toujours le territoire syrien. Les chars du régime sioniste ont attaqué le 12 août deux agriculteurs syriens dans le village de Hamidiyah situé à Quneitra au sud de la Syrie, à proximité de la zone tampon syrienne.
Est-ce une approbation russe à toute offensive visant à libérer le Golan ? À n’en pas douter dans la mesure où même le ministre russe des Affaires étrangères est allé jusqu’à établir un parallèle entre le Golan et le Donbass et fustiger le culot israélien de voir dans le premier une « restitution de terre » et dans le second « une annexion illégale ». Mais cette affaire du Golan occupé sur quoi travaille assidûment l’axe de la Résistance pourrait ne pas être le terrain de prédilection pour une punition que les Russes voudraient radicale puisque l’aversion israélienne contre la Russie, avec en toile de fond le Sioniste Zelensky et sa machine de guerre anti Ukraino-russe l’est aussi.
C’est sans doute pour cette même raison que les Palestiniens ont été invité au forum sécuritaire en Russie et que le numéro deux du ministère russe de la Défense le général Fomine, s’est entretenu avec eux. Des entretiens qui auraient même fait leur apparition dans le contact téléphonique Poutine-Herzog où le second a accusé le premier d’avoir envoyé des armes aux Palestiniens et où le premier s’est moqué du second en soulignant que cela devait être lié aux réseaux de contrebande d’arme ukrainiens si actifs sous l’Israélien Zelensky. Mais il y a peut-être mieux que d’un simple réseaux d’acheminement armes russes à la Palestine. Il y a ceux impliqués dans cet acheminement. S’agit-il des Sionistes russophones lésés par la politique pro Ukraine de Tel-Aviv qui s’y sont impliqués ? Peut-être. Ce jeudi l’entité annonce avoir arrêté plusieurs Israéliens alors qu’ils collectaient des informations sur les sites sensibles en Israël. Et on veut bien croire que c’est une carte entre autres que la Russie pourrait jouer contre Israël.
