La route « Téhéran-Méditerranée » est une obsession, un tourment constant et une hantise de la mort pour les États-Unis. Craignant les conséquences économiques de la consolidation de cette route, les Américains soutiennent les terroristes de Daech à la frontière entre l’Irak et la Syrie pour couper cette route stratégique de la Résistance. Malgré de nombreuses opérations menées par l’armée syrienne et des forces de la Résistance, des cellules dormantes de l’organisation terroriste Daech existent toujours dans les zones occidentales de la province syrienne de Deir ez-Zor et des zones orientales de la province de Homs, dont la superficie totale est de 19000 kilomètres carrés. Depuis plusieurs mois, ces terroristes ont repris leurs activités notamment dans l’ouest de Deir ez-Zor.
Des dizaines d’habitants de ces régions et de combattants de la Résistance ont été tués lors des attaques des terroristes ces dernières semaines. Régions désertiques, les zones situées dans l’ouest de Deir ez-Zor et dans l’est de Homs sont propices au développement des activités de Daech dont des membres peuvent cacher plus facilement leurs repaires et les protéger des patrouilles de l’armée syrienne et des forces de la Résistance.
En effet, selon les estimations, les terroristes takfiristes de Daech sont dispersés sur quelque 5000 kilomètres carrés tandis que le reste est sous le contrôle de l’armée syrienne et de la Résistance.En réaction à l’intensification des activités des terroristes de Daech, une action coordonnée a pris forme depuis plusieurs semaines pour contrer les terroristes. L’armée syrienne et les combattants de la Résistance mènent des opérations, en coordination avec les militaires russes, pour nettoyer les zones où se trouvent les daechistes. Dans le même temps, l’armée irakienne et les combattants des Unités de mobilisation populaires
Il est à noter que depuis plusieurs mois, les terroristes de Daech ont essayé en vain d’ouvrir la voie pour s’infiltrer massivement à l’intérieur de la province irakienne d’al-Anbar, mais la vigilance de la Résistance les a obligés de se limiter à des opérations sporadiques dans l’est de la Syrie pour déstabiliser cette région. Selon des sources locales, l’échec des plans de Daech est dû en grande partie à une très bonne coordination des armées syrienne et irakienne dans les zones frontalières.
Cette zone extrêmement sensible se trouve sur la route de la Résistance qui relie Téhéran à la Méditerranée, via le passage de Qaëm (côté irakien) et le passage d’Abou Kamal (côté syrien).
La route « Téhéran-Méditerranée » est une obsession, un tourment constant et une hantise de la mort pour les États-Unis. Craignant les conséquences économiques de la consolidation de cette route, les Américains soutiennent les terroristes de Daech à la frontière entre l’Irak et la Syrie pour couper cette route stratégique de la Résistance. Réussiront-ils? rien n'est moins sûr. D'ors et déjà la route est praticable et permet le transit de marchandises et du pétrole par voie terrestre en évitant le golfe Persique. le jeu est déjà perdu pour le camp US/Israël...