TV

Le Hezbollah continue ses avancées dans les régions frontalières libano-syriennes

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Des colonnes de fumées s'élèvent au-dessus du jurd d'Ersal, le 21 juillet 2017, après le lancement de l'opération militaire du Hezbollah contre les terroristes. ©AFP/médias du Hezbollah

Les forces du Hezbollah libanais ont annoncé, ce lundi 24 juillet, avoir libéré des zones stratégiques sur la frontière libano-syrienne.

Au cours des opérations menées conjointement avec les armées libanaise et syrienne, contre le Front al-Nosra, dans les régions frontalières près de la Syrie, les forces du Hezbollah libanais ont réussi à reprendre aux terroristes des hauteurs et des vallées d’une grande importance stratégique, rapporte l’agence de presse iranienne ILNA citant Reuters.

Attaquant, depuis plusieurs axes, les régions de Wadi al-Khalil et du jurd d’Ersal, les forces du Hezbollah ont pris le contrôle des fortifications du Front al-Nosra [rebaptisé Front Fatah al-Cham], réussissant des avancées considérables dans lesdites régions.

Source de la photo : AFP/médias du Hezbollah

« Une fois que les opérations contre les éléments du Front al-Nosra seront terminées, les forces du Hezbollah frapperont les positions de Daech et commenceront l’opération de libération des régions frontalières entre le Liban et la Syrie », précise le communiqué du Hezbollah.

Dans le même temps, l’agence de presse officielle syrienne a annoncé que les forces de l’armée syrienne et du Hezbollah libanais avaient libéré dimanche, des zones aux alentours de Falita, dans le Rif de Damas. 19 combattants du Hezbollah et plus de 130 terroristes du Front al-Nosra ont été tués jusqu’ici au cours de ces opérations, disent des sources sécuritaires.

À noter que le rôle du Hezbollah dans les évolutions de la région surtout dans le cadre de la lutte contre le terrorisme n’est pas au goût de certaines autorités politiques de la région, dont le Premier ministre libanais Saad Hariri.

Partager Cet Article
SOURCE: FRENCH PRESS TV