Pourquoi les Américains et leurs affidés au sein des l’OTAN devraient avoir peur de l’apparition du drone iranien en plein champ de bataille dans le camp russe ? depuis que le conseiller pour la sécurité de Biden Sullivan en a parlé en affirmant juste avant que Biden ne vienne en Israël tenter donner corps à son OTAN Israël/golfiens contre l’Iran, les commentaires ne cessent d’évoquer de nombreuses raisons : The Drive magazine militaires US évoquent par exemple le fait que les drones à longues portées iraniennes qui sont à la fois précis et furtives pourraient largement remplacer les missiles balistiques tactiques russes qui pour avoir brillamment rempli leur mission en plus de 4 mois de guerre n’en restent pas moins coûteux ce qui n’est pas le cas des drones iraniens. La revue relève aussi la chaîne de production permanente de ces drones qui tournent à plein régime et qui permettent d’en alimenter l’armée russe à souhait.
Puis, fantaisistes qu’elle est cette revue parfaitement oublieuses du terrorisme pratiqué ces 4 derniers mois par les régiment d’Azov et autres mercenaires venus des quarte coins du monde dont Idlib contrôlé par Erdogan, the Drive souligne il y a là à travers ce choix russe « la volonté de rester anonyme » car une attaque aux drones ça se revendique pas ! Ceci étant la dronisation du conflit en défaveur de l’axe US/OTAN pourrait avoir des conséquences qui vont encore plus loin.
Genre une identification parfaite des lignes de communication et de contact ou d’approvisionnement ennemis qui en l’absence d’une aviation conséquente russe n’a cessé de causer de problème à la Russie ou encore le fait que les drones iraniens, roi en furtivité et ce à l’aide de différentes capacités qu’ils ont pourraient même influer ce système de StarLink sur quoi les Américains si largement joué pour préserver l’interchangeabilité des données via satellite et rendre nulles et non avenues les frappes russes. Mais tout ceci ne pourrait pas expliquer cette panique qui s’est emparée de l’Amérique d’avoir à revivre un scénario à l’Aramco ou à l’Ain al Assad en Ukraine qui reste après tout à des milliers de km des Etats Unis été où les troupes US ne sont pas directement engagée. Mais à regarder de plus près, ce qui semble inquiéter le plus le Pentagone c’est une renvoie de l’ascenseur. Et comment ?
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en effet en Ukraine, les Yankee et leurs alliés n’ont jamais perdu de vue leurs colossaux revers au
Yémen en Irak à Gaza ou dans le golfe Persique : il y a euy cette période où ils ont médiatisé à outrance l’entrée en scène des drones Swichblade qui l’absence des résultats conséquents du drone Bayraktar auraient du jouer le rôle des Samad et des QassefK2 yéménites. Or à aucun moment on n’a étendu parler d’un essaim de drone US/OTAN attaquer une cible russe. Même des coups aux drones visant les sites énergétiques en Crimée ou en Rostov ont été menés sans que les assaillants aient pu faire preuve d’une quelconque capacité d’essaimage. Depuis une quinzaine de jours, les Yankee s’essaient aux HIMARS et selon des sources russes c’est en se servant de tactique maître de Gaza qu’ils cherchent à saturer la DCA russe.
Avia. pro écrit :
« …l'armée ukrainienne a été condamnée à plusieurs reprises pour avoir tenté de briser les systèmes de défense aérienne en les surchargeant sur fond de frappes à l'aide d'armes américaines. Pour ce faire, deux tactiques différentes sont utilisées - l'utilisation de frappes massives utilisant de lourds systèmes de lance-roquettes multiples, ainsi que l'utilisation de munitions d'entraînement. Selon le premier vice-ministre de l'Information de la RPD, Daniil Bezsonov, l'armée ukrainienne tente de surcharger les systèmes de défense aérienne en lançant des frappes massives. Pour des raisons évidentes, plus il y a de cibles dans le ciel, plus il sera difficile de les intercepter. "Nos combattants ont remarqué une nouvelle tactique des Forces armées ukrainiennes, qui donne parfois des résultats. Tout d'abord, l'ennemi effectue deux volées de l'Uragan MLRS sur la cible sélectionnée afin de désamorcer notre défense aérienne, puis effectue une volée de missiles Himers MLRS plus chers et plus précis., - rapporte le premier vice-ministre de l'information de la RPD Daniil Bezsonov dans sa chaîne Telegram.
Or là non plus cette tactiques qui infligent certes des pertes massives aux Russes ne seraient d’être d’un grand recours aux Américains car entre des roquettes de garage palestinien comme le disaient le ministre ukrainien de la Défense qui ne coûtent pas grand-chose et de « précieux » HIMARS il y a un fossé en termes de coût que le pourrissement de la situation risque de transformer en une saignée insupportable surtout que la situation financière va de mal en pis coté Occident au contraire du camp russe.
Tout ceci pour dire que l’émergence du facteur drone iranien avec tout ce que cela signifie en termes de tactique et technique risquent de neutraliser les simulacres de guerre asymétrique que l’Occident mène en Ukraine dans l’espoir de pouvoir sur le dois de la Russie trouver comment neutraliser la Résistance et ramener les compteurs du Moyen orient à zéro, quand son ciel était sous l’occupation US/Israël. Cette nuit, alors même que le vieux Biden atterrissait en Israël pour y annoncer la naissance d’une DCA intégré, Newsweek a prétendu que l’Armée américaine a de quoi contrer la menace de drone iranienne sur le front Russo-Ukrainien. Citant « Dense Post » le journal a vaguement parlé des radars embarqué capable à faire face à des objets volant a ras le sol. Combiné à « Iron beam qu’a dévoilé Biden cette nuit à Ben Gourion et à cette autre information qui fait état de l’établissement du QG de DCA intégrée Israël/golfiens au Qatar on arrive à la conclusion suivante : c’est la moitié de la planète que les USA ont mobilisé pour que les drones une fois arrivés en Ukraine ne puissent pas refaire le même coup qu’ils ont fait aux Yankee au Moyen Orient.
A-t-il vu juste ? On s’en doute : car si ce sont les HIMARS US qui ont frappé Abou Kamal, la guerre des missiles est alors lancée. Quelle en sera la conséquence ? A peu près ceci : Kheybar Shekane VS HIMARS. Et ce n'est pas le HIMARS le plus fort dans cette équation. Khaybar Shekane est un missile de troisième génération, à combustible solide, à tête manœuvrable et à charge ultra explosive, et d’une portée de 1450 km dont le corps en matière composite pèse un tiers de HIMARS, tout comme le temps de préparation qui en est un sixième. La légèreté, la vitesse de déploiement élevée de Kheybar Shekane s’ajoute à son faible coût de fabrication, ce qui, bien au contraire de HIMARS dont chaque batterie coûte 5 millions de dollars, permet de tirer des missiles à tiroir et à grand volume. Puis comparé à HIMARS Khyber Shakhane peut transporter une ogive plus lourde en raison d’un poids plus léger une qualité qui se combine à une autre : A mesure que la distance entre le missile et la cible diminue, la quantité de poids pouvant être transportée par ce missile augmente.
Est-ce tout ? Non. La technologie utilisée dans Kheybar Shekane a déjà servi de base au développement d’une version aérobalistique dont les photos ont déjà été rendues publiques. En Iran, le CGRI en a publié des images mettant en scène un Soukhoï-22 lançant un Khaybar Shekane aérobalistique… et c’est al-Tanf qui en souffrira, elle qui a déjà subi un coup de drone en octobre 2021 ,