Près de 80 jours après le début de la guerre US-OTAN/Russie et alors que le chef du Pentagone crie hypocritement n'avoir nulle intention de voir un clash direct Alliance atlantiste/Russie, et ce sur fond d'accusations des officiels US contre Moscou comme quoi ce dernier ment s'il dit vouloir s'en tenir à Donbass, ce qui en dit long sur la réelle visée des occidentaux laquelle consiste à tout prix à empêcher la Russie de pouvoir créer un continuum géographique entre la Crimée d'une part le Donbass, et Transnistrie de l'autre et se mettre de la sorte à l'abri de toute atteinte otanienne contre son intégrité maritime, on apprend l'apparition pour la première fois dans le ciel d'Odessa des bombardiers stratégiques supersoniques à longue portée russes Tu-22 qui y auraient largué selon des vidéos, deux missiles à guidage de précision de type Kh-22 sur des cibles militaires.
Le Kh-32 a été conçu pour monter à 40 kilomètres, dans la stratosphère, après le lancement, passer au vol en palier, puis effectuer une plongée abrupte vers la cible. La version missile de croisière est également conçue pour cibler les navires ennemis, ainsi que les radars et les cibles à contraste radio comme les ponts, les bases militaires, les centrales électriques et autres. C'est un missile qui dispose d'un système de navigation inertielle et d'une tête de guidage radar, ce qui le rend indépendant des satellites de navigation GPS/GLONASS. Vraisemblablement, il a une autonomie de 1 000 kilomètres et une vitesse d'au moins 5 000 kilomètres par heure. Le missile est armé d'une ogive de 1 000 kg. Une version nucléaire a également été développée. Que la Russie utilise ses bombardiers Tu-22M à Odessa, après les avoir activé pour mais uniquement pour bombarder les positions fortement fortifiées des forces de Kiev dans l'aciérie d'Azovstal, à côté de la ville de Marioupol.
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Cela montre que cette propension navale que prend de plus en plus les combats est une réalité et que d'ici quelques semaines il y aurait de fortes chances pour que tout se déroule en mer là où l'axe US/OTAN se targue d'avoir déjà porté un coup dur à la Russie en faisant couler le navire Amiral de sa flotte en mer Noire Moskova et ce, en représailles à la méga déculottée que fut pour l’Amérique et ses acolytes d'avoir perdu Mariopul et presque son AzovStal. Mis à part le fait que les Russes semblent avoir tiré leçon qui s'imposent après le Moskova parce que dixit, Avia, la marine aurait décidé de ne plus activer ses gros navires contre les missiles antinavires Harpoon ou Neptune mais bel et bien ses frégates et des destroyers qui sont de plus petites tailles et aptes de cette façon à intercepter les missiles croisière qui survolent suffisamment haut pour être localisés par les radars embarqués. C'est donc sur une double front que la Russie va à l'encontre du tournant naval à venir en sortant ses Tu-22 et en mettant en avant ses bâtiments plus petit. Mais la raison de l'apparition des Tu-22 dotée de la capacité de transporter 12 000 kg de bombes en reste-t-elle là?
Mercredi 11 mai presque au moment où les premières informations tombaient concernant l'apparition de Tu-22, le ministère russe de la Défense a fait de nouvelles révélations-choc sur Marioupol et ses laboratoires secrets au sein d'AzovStal. La Défense russe lève du voile sur la complicité des « Pfizer » et « Moderna » avec le gouvernement de Kiev dans des projets de recherches secrètes suivies dans les « 30 » labos biologiques militaires sur le sol ukrainien. La Défense russe révèle entre-temps les contributions directes des Autorités de la Maison Blanche dans les activités secrètes des labos biologiques militaires en Ukraine. Il s'agit des révélations par lesquelles pourrait s'expliquer le changement de stratégie militaire russe sur les champs de batailles actuels en Ukraine. Un responsable proche du ministère russe de la Défense a déclaré que l'actuel président américain supervisait en personne les activités des laboratoires biologiques en Ukraine, ajoutant que les sociétés pharmaceutiques Pfizer et Moderna étaient également impliquées dans l’affaire.
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Malgré des tentatives des États-Unis et de leurs alliés pour dissimuler les recherches confidentielles faites dans ces laboratoires biologiques militaires en Ukraine, Moscou a levé un coin du voile sur de nouvelles dimensions de cette activité. Selon le ministère, le chef des Forces de protection radiologique, chimique et biologique de l'armée russe, le général Igor Krylov, a déclaré dans un communiqué que les revenus obtenus de la contribution des ONG et de la biotechnologie contrôlée, impliquées dans ces projets de recherche secrets permettrait aux Démocrates américains au pouvoir de financer de cette façon les frais de leurs campagnes électorales. Dans un point de presse, Krylov a décrit quatre parties du programme biologique militaire américain en Ukraine.
En vertu des statistiques fournies par le ministère russe de la Défense, le président américain de l'époque, Barack Obama, a signé des accords de partenariat avec l'Ukraine en 2005 pour lancer des programmes biologiques mili
taires dans ce pays. L’ex-secrétaire d'État américaine, Hillary Clinton, a également déployé des efforts pour adopter une stratégie de la lutte contre les menaces biologiques, ce qui a conduit à la légalisation des études à double finalité. Le président Joe Biden, qui a été vice-président d'Obama à l’époque, était chargé de coordonner les activités de ceux qui étaient derrière le programme biologique militaire en Ukraine. De même, il était impliqué dans une fraude financière en Ukraine sur ce plan. Le milliardaire américain, George Soros, a également été décrit comme un sponsor majeur de la recherche biologique militaire en Ukraine et un lobbyiste de « Big Pharma ».
Selon l'agence de presse RT, Krylov a également révélé que les sociétés pharmaceutiques Pfizer et Moderna, qui produisent actuellement des vaccins contre le virus Covid 19, étaient impliquées dans des activités militaires et biologiques américaines en Ukraine. « Des experts américains œuvrent pour tester de nouveaux médicaments qui ont contourné les normes de sécurité internationales. En conséquence, les entreprises occidentales réduisent sérieusement le coût des programmes de recherche et acquièrent des avantages compétitifs significatifs », a-t-il expliqué.
Selon le ministère russe de la Défense, le Pentagone a élargi son potentiel de recherche non seulement pour fabriquer des armes biologiques, mais aussi pour obtenir des informations sur la résistance corporelle aux antibiotiques et la présence d'anticorps dans certains cas. Auparavant, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, avait dévoilé qu'il y avait 30 laboratoires biologiques américains en Ukraine qui auraient été détruits par la Russie. Décidemment la guerre US-OTAN contre la Russie n'en fait que commencer à livrer ses secrets