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E-Press du 19 janvier 2021

La Guyane.

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Au sommaire :

1 - B-52 US : l’Iran avertit !

« L’Iran n’hésitera pas à écraser les ennemis agresseurs pour se défendre », a déclaré le ministre iranien des Affaires étrangères, au sujet des bombardiers B-52 américains qui patrouillent dans le ciel du Moyen-Orient.

S’adressant à Donald Trump, Mohammad Javad Zarif a écrit sur sa page Twitter : « au lieu de dépenser une fortune pour faire patrouiller des bombardiers B-52 dans le but d’intimider ou de mettre en garde l’Iran, vous auriez dû dépenser ces milliards de dollars pour la santé de vos contribuables. »

« Bien que nous n’ayons pas déclenché de guerre au cours de ces 200 dernières années, nous n’avons aucun doute quant à l’écrasement des agresseurs », a ajouté le ministre iranien des Affaires étrangères.

« Demandez à vos amis proches qui ont soutenu Saddam », a dit Zarif au président sortant des États-Unis.

Le général de brigade Amirali Hadjizadeh, commandant de la Force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique aussi a déclaré dans une interview télévisée : « Les bombardiers B-52 sont des cibles plus faciles que les drones Global Hawk pour les systèmes antiaériens de l’Iran. »

Source : PressTV et IRNA

 

2 - QAnon fait une percée en France ?

Dès que ça parle nationalisme, on peut être sûrs de voir surgir de l’agent sioniste antinationaliste (sauf pour son propre camp), avec du point Godwin au bout, et c’est le cas de cet article du journal gratuit 20 Minutes sur le mouvement souverainiste américain QAnon.

« Sur des plateformes comme Vkontakte ou Gab, qui sont des réseaux sociaux sans modération et des repaires de l’antisémitisme ou du nationalisme, ces personnes déjà influençables pourraient s’exposer à des contenus encore plus virulents », s’inquiète Tristan Mendès France.

On savait que le gouvernement français avait besoin d’un terrorisme d’extrême droite, c’est maintenant officiel : QAnon oscille entre mouvement sectaire et mouvance terroriste, surtout depuis la manif dans le Capitole, qui a rendu hystériques les médias mainstream, alors qu’il ne s’agit que d’une réappropriation démocratique des assemblées du peuple – le Congrès et le Sénat – par le peuple. L’Assemblée, oui, mais sans le peuple ! En France aussi, ça risque d’arriver, et ça a failli arriver fin 2018, quand les Gilets jaunes ont commencé à fureter vers les lieux de pouvoir, ou du moins les lieux symboliques. Car le vrai pouvoir n’est pas, pour la France en tout cas, dans les deux Chambres.

C’est l’intellectuelle gauchiste inféodée à tous les réseaux de pouvoir imaginables (sioniste, franc-maçon, féministe, LGBT) qui s’occupe de déballer le discours officiel sur la percée de QAnon en France. Car les oligarques français ont compris au moins une chose, c’est que la mort politique (mille fois) annoncée de Trump inaugure la résurrection d’un nationalisme sans complexes. Et les scènes pré-émeutiques qui ont eu lieu aux États-Unis depuis deux ans, opposant antifas ou Black Lives Matter aux militants trumpistes, soit le peuple américain, sont un avant-goût de la déchirure française à venir. C’est aussi ce que cherche le pouvoir profond, dont le pouvoir ne tient que sur les divisions sociétales.

Qui sont-ils ? Quels sont leurs revendications et leurs modes d’action ? Comment influencent-ils leurs membres et comment agir contre ? Toutes ces questions seront abordées dans le rapport de cette mission confiée à la fois aux services d’enquête de la police nationale, de la gendarmerie et à la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires). Si la mouvance QAnon n’est pas la seule spécifiquement visée par ces travaux, des éléments relatifs à ce mouvement devraient figurer au rapport.

Quand on entend la porte-parole de la secte oligarchique qualifier de « mouvement sectaire » tout ce qui s’oppose à elle de manière profonde, on se dit que nos dirigeants ne reculeront devant rien. On est désormais au-delà du mensonge, on est dans la pathologie mentale. Et quand un pouvoir a recours à ce point à la désinformation, qui est une forme de délire, c’est qu’il est très malade.

Question au journal 20 Minutes, comment qualifier le réseau très solidaire des élites constitué des personnalités suivantes : Duhamel, Lang, Kouchner, Cohn-Bendit, Guigou ? Et comment qualifier le réseau des élites américaines constituées des personnalités suivantes : Epstein, Gates, Clinton (Hillary), Clinton (William), Podesta (frères) ? Ces réseaux sont en train de tomber, mais personne dans la presse mainstream n’ose les qualifier de sectes. Pourtant, elles en ont tous les aspects.

En face, QAnon est qualifiée par 20 Minutes de « communauté complotiste selon laquelle Donald Trump aurait pour mission de sauver le monde d’une élite pédo-satanique et de ce qu’ils appellent “l’État profond” ».

 

Source : egaliteetreconciliation

 

3 - L’armée française attaque la Guyane !

En Guyane où la population est traitée en citoyen de seconde zone, c’est l’armée française qui combat pour la provider de ses propres richesses. C’est un peu comme en Afrique où les puissances colonialistes à l’origine des pires pillages luttent contre « le trafic aurifère ». Selon Opex360, Le 9e Régiment d’Infanterie de Marine cible les sites aurifères illégaux les « plus rentables » en Guyane !

« Il y a des criques qui étaient jusqu’à présent préservées et qui sont devenues vraiment touchées de façon importante […] par l’activité illégale, avec une turbidité, une couleur de l’eau extrêmement forte, beaucoup de matière en suspension et puis des dégâts importants sur les abords des rivières, des criques… On est aujourd’hui autour de 50 euros le gramme [d’or]. Quand je suis arrivé ici en Guyane, il y a moins de deux ans on était à 30 euros le gramme donc l’activité est extrêmement attractive pour les garimpeiros », avait commenté sans honte Pascal Vardon, le directeur du Parc amazonien de Guyane, auprès de la Guyane la première avant de vanter le bilan de cette opération armée visant directement les Guyanais : « les FAG et la Gendarmerie ont mené plusieurs opérations aux bilans assez éloquents. Comme celle conduite par le 9e Régiment d’Infanterie de Marine [RIMa] entre les 7 et 12 septembre, près de la crique de Beiman et dans la région Lipo Lipo, au sud de Maripasoula. Plusieurs quads, des concasseurs, des dizaines de moteurs et de groupes électrogènes, de l’or, 6,1 m3 de carburant, 1,4 tonne de vivres et 34 kg de mercure avaient été récupérés. “C’est ainsi un coup très dur porté à la logistique des garimpeiros qui, en cette période de saison sèche, cherchent à constituer des stocks en prévision de la conduite de leurs activités illicites ».

Ce fut tout un déplacement de troupes : « Dans un premier temps, les commandos de recherche et d’action en jungle [CRAJ] du 9e RIMA ont été déposés par aérocordage par des hélicoptères Puma de l’escadron de transport 68 Antilles Guyane afin qu’ils puissent s’infiltrer dans la zone visée, puis renseignement et aider à l’engagement des sections d’infanterie du régiment mobilisées pour cette opération.

Ces dernières, également déployées par hélicoptères et appuyées par des équipes cynotechniques et des sapeurs, ont alors bouclé la zone en s’emparant ds points clés. Puis, elles ont ‘ratissé’ le secteur, opérant saisies et destructions de matériels, en relation avec les gendarmes ».

C’est comme si l’armée française avait à faire avec les terroristes ! En attendant les médias officiels, eux, parlent d’un taux de chômage de 19,3 %.

Source : PressTv et Opex360

 

4 - Manœuvre conjointe Russie/Chine : l’objectif ?

Moscou explique le but des manœuvres militaires conjointes russo-chinoises.

Commentant les manœuvres militaires conjointes impliquant la Russie et la Chine, le ministre russe des Affaires étrangères a affirmé qu’elles ne prenaient pas le Japon pour cible, mais visaient à assurer l’état de préparation des forces aérospatiales des deux pays.

Lors de sa conférence de presse annuelle portant sur le bilan de l’année écoulée, tenue ce lundi 18 janvier, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a déclaré que l’objectif des exercices militaires conjoints russo-chinois était d’assurer le niveau de préparation au combat de l’aviation défendant les frontières des deux pays et ne visait pas le Japon.

« Ils [les exercices conjoints, ndlr] ne sont pas contre le Japon, ils ont pour but de tout simplement assurer l’aptitude opérationnelle de l’aviation, chargée de garantir la sécurité des frontières de la Fédération de Russie et de la République populaire de Chine », a-t-il déclaré.

Qualifiant les relations avec le Japon de « très bonnes », le ministre russe des Affaires étrangères a estimé qu’il y avait toujours eu « des liens amicaux, des sympathies personnelles du Président russe et de ses homologues japonais, et des Premiers ministres ». Il s’est par ailleurs dit confiant sur le fait que Moscou établisse des contacts personnels également avec le Premier ministre japonais Yoshihide Suga, en poste depuis septembre 2020.

Source : News-Front

 

5 - Une destitution visant Biden !

Une destitution est préparée à Biden juste après son investiture

C’est une émission spéciale d’ANNA News. Aujourd’hui on parle d’une intention de destituer Biden juste après son investiture.

La membre du Congrès Marjorie Taylor Greene a promis de publier une demande de destitution de Joe Biden au début même de son mandat à la Maison-Blanche, en imitant les actions des démocrates qui en avaient fait de même à l’égard du président républicain Donald Trump.

Elle a promis d’engager la destitution le jour après l’investiture de Biden qui aura lieu le 20 janvier. Greene a ajouté qu’elle était fière d’être la porte-parole des électeurs républicains dont les voix avaient été ignorées.

Selon Greene, 75 millions d’Américains en ont assez d’inaction et « il est temps d’adopter une position ferme ».

« On ne peut pas avoir un président des États-Unis qui est prêt à abuser de son pouvoir présidentiel et à être simplement corrompu par des gouvernements étrangers, des sociétés chinoises ou ukrainiennes », a-t-elle ajouté.

La membre du Congrès n’a pas précisé sur quelle base elle engagerait la destitution. Citant les allégations portées contre Biden et son fils Hunter de corruption, qui avaient précédé sa victoire aux présidentielles du 2020, Greene prévoit que le nouveau président abuserait du pouvoir.

Malgré les petites chances de succès, la menace de destitution posée par Greene ressemble beaucoup aux efforts similaires des démocrates lors des premiers mois de la présidence de Trump.

En juillet 2017, deux membres du Congrès avaient déposé une demande de destitution en accusant Trump d’entraver la justice à la suite de la démission du directeur du FBI James Comey. La majorité à la Chambre des Représentants étant républicaine, cette tentative n’a pas progressé. La situation peut se répéter, car actuellement le Congrès est contrôlé par les démocrates, et il est absolument évident qu’il rejetterait toute tentative de destituer Biden.

Le sénateur russe Alexeï Pouchkov croit que la destitution de Biden ne peut avoir des chances de succès qu’après des nouvelles élections au Congrès en 2022, si les républicains réussissent à prendre de nouveaux sièges. Maintenant les républicains n’ont pas de majorité à la Chambre des Représentants, ayant 5 sièges de moins que les démocrates.

« Si les républicains comblent cet écart, Biden risque de sentir la beauté de la destitution », conclut Pouchkov.

En général, les destitutions dans l’histoire des États-Unis ont été liées à des crimes qui ont été supposément commis en service. D’après le service d’investigation du Congrès, les fonctionnaires sont rarement destitués pour des actes illicites avant l’arrivée au pouvoir.

Source : Réseau international

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SOURCE: FRENCH PRESS TV