Incapable d'éliminer le secrétaire général du Hezbollah libanais, le régime israélien a prétendu que le nom du leader de la Résistance libanaise ne figurait plus sur la liste noire de ses services de sécurité bien qu’il l’ait déjà considéré comme son ennemi numéro un.
Les services de sécurité du régime israélien avaient déjà présenté "le Hezbollah comme l’ennemi numéro un suivi respectivement par l’Iran et le Hamas".
Les milieux sécuritaires et politiques israéliens avaient, eux aussi, avoué que la première personne recherchée depuis 2006 par les services de sécurité israéliens restait Seyyed Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah.
Onze ans après l’échec humiliant qu’a connu Israël face au Hezbollah libanais, Tel-Aviv n’a fait qu’avouer son incapacité à éliminer le secrétaire général du Hezbollah. Cela explique ainsi la nouvelle prise de position des instances sécuritaires israéliennes vis-à-vis de Nasrallah, rappelant que ce dernier ne figurait plus sur leur liste des personnes recherchées.
Le secrétaire général du Hezbollah libanais a annoncé, lors de son dernier discours, qu’il s’était, tout récemment, rendu à Damas pour parler avec le président syrien Bachar al-Assad et obtenir son aval sur l’accord à signer entre le Hezbollah et Daech.
La visite s'est passée sous les yeux des services de sécurité israéliens. Le secrétaire général du Hezbollah était arrivé en voiture à Damas; son déplacement a duré une heure et demie sans que les services de sécurité israéliens et surtout le Mossad ne puissent repérer Seyyed Hassan Nasrallah et le tuer.
