Les services de sécurité de la Résistance palestinienne ont annoncé que la fondation « GHF », sous couvert d’activités humanitaires, menait des activités dans l’intérêt du régime sioniste à Gaza et que cette fondation constituait un outil d’infiltration sécuritaire et une couverture pour les occupants.
Selon un rapport publié mardi 15 juillet par l’agence de presse IRNA qui se réfère à l’agence de presse Sama, les services de sécurité de la Résistance palestinienne ont souligné que la fondation collaborait avec un gang appelé « Abou Shabab » par l’intermédiaire de certaines institutions et personnalités internes.
Cette fondation américaine déguisée en distributeur d’aide humanitaire, a assassiné et arrêté des personnes, et a également collecté des informations de terrain, au profit du régime sioniste.
Les services de sécurité de Gaza affirment que la fondation cherche à collecter des informations sécuritaires par le biais de contacts avec certaines institutions.
L’appareil sécuritaire de la Résistance palestinienne a interdit toute collaboration avec la fondation, la qualifiant de « crime sécuritaire ».
Le QG des groupes de résistance palestiniens avait précédemment réagi dans un communiqué aux actes de trahison de Yasser Abou Shabab et de son gang, qui opèrent dans la bande de Gaza avec le soutien et les armes fournies par le régime sioniste.
Le communiqué affirmait qu’Abou Shabab et son groupe étaient des instruments aux mains des occupants et qu’ils avaient été dépourvus d’identité nationale palestinienne.
Les groupes de résistance ont souligné que l’élimination de ces traîtres était autorisée et qu’aucune pitié ne leur serait accordée.
Le site web israélien « Walla » a rapporté que 130 organisations humanitaires internationales avaient, dans un communiqué commun, appelé à la fermeture immédiate de la Fondation humanitaire pour Gaza, financée par les États-Unis et Israël.
Ces organisations ont souligné que la fondation violait les règles de l’aide humanitaire et mettait en danger la vie des millions de Palestiniens.
Les organisations ont ajouté que plus de 500 Palestiniens ont été tués alors qu’ils tentaient de recevoir de la nourriture des centres d’aide, soulignant que cela représente une violation flagrante des droits de l’homme et du droit international.