Le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a lancé une nouvelle vague de frappes de missiles et de drones contre le régime sioniste.
La nouvelle vague d’opérations militaires de grande envergure a débuté dimanche 15 juin, avec de fortes explosions entendues dans les zones occupées de Haute et Basse Galilée, à Haïfa, à Afoula et à Nazareth.
Les sirènes ont retenti dans les territoires occupés et les Israéliens fuient vers des abris.
Peu de temps après une première salve, le Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a lancé une nouvelle vague d’attaques de drones et de missiles visant Tel-Aviv, Haïfa et plusieurs zones situées dans le sud des territoires occupés.
Cette attaque s’inscrit dans le cadre de multiples phases de l’opération de représailles lancée vendredi par l’Iran, en réponse à une agression militaire de grande ampleur menée par Israël — avec le soutien des États-Unis — contre des infrastructures stratégiques sur le sol iranien.
Les frappes israéliennes ont notamment visé des installations nucléaires, des bases militaires et des zones résidentielles dans la capitale Téhéran ainsi que dans d’autres villes à travers l’Iran.
Les frappes de représailles iraniennes ont débuté peu après un discours télévisé du Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, dans lequel il a promis que le régime israélien, qualifié de « méprisable », serait conduit vers une situation sans issue par la réponse des forces armées iraniennes.
Les attaques israéliennes ont entraîné de pertes humaines, incluant plusieurs figures de haut rang de l’appareil militaire et scientifique iranien. Parmi les victimes figurent : le général de division Mohammad Baqeri, chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général Hossein Salami commandant en chef du CGRI, le général de brigade Amir Ali Hajizadeh commandant de la division aérospatiale du CGRI, le général Gholam Ali Rashid haut responsable militaire au sein du commandement du CGRI.
Les bombardements ont également coûté la vie à plusieurs civils, dont des femmes et des enfants, selon les sources officielles iraniennes.
Les autorités iraniennes ont affirmé que ces actes d’agression ne resteraient pas impunis et ont juré de poursuivre leurs actions défensives tant que les attaques israéliennes continueront.