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La doctrine nucléaire de la République islamique d'Iran reste inchangée

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Le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale d’Iran, Ali-Akbar Ahmadian. (Archives)

Le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale a déclaré que la doctrine nucléaire de la République islamique d'Iran reste inchangée.

Ali-Akbar Ahmadian a fait ces remarques, le lundi 30 décembre, lors d'une rencontre avec le ministre omanais des Affaires étrangères, Badr Albusaidi, dans la capitale iranienne, Téhéran.

« D’après les directives pertinentes du Leader de la Révolution islamique, l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, la doctrine nucléaire du pays reste inchangée », a-t-il précisé.

Par ailleurs, les deux parties ont souligné des relations de longue date entre Téhéran et Mascate et discuté des questions bilatérales. Les responsables iranien et omanais ont mis l'accent sur l'élargissement des relations dans divers domaines en particulier dans les secteurs politiques, sécuritaires et économiques ainsi que la mise en œuvre des projets de transit entre l'Iran, l'Oman, la Russie et les pays de l'Asie centrale.

« Naissance d’une nouvelle résistance »

Le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranienne a également abordé les développements en cours en Syrie, notant qu'avec l'occupation des territoires syriens par le régime israélien, une nouvelle forme de résistance est née qui fera ses preuves dans les années à venir.

Ces propos interviennent dans un contexte d’intensification des attaques meurtrières du régime israélien contre les infrastructures militaires et civiles de ce pays avant et après (à la veille et au lendemain de ) sa prise de contrôle au début du mois par des groupes armés bénéficiant du soutien de l’Occident et d'Israël.

Lundi également, Mohammad Eslami, directeur de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA), a déclaré que l'Occident s'opposait au gouvernement d’Assad en raison de son soutien à la Révolution islamique d'Iran.

« S’ils avaient des problèmes avec le gouvernement d’Assad, ces problèmes ne concernaient pas la personne d’Assad ni sa famille, mais en raison de son association avec la Révolution islamique iranienne », a-t-il noté, ajoutant : « Les compagnons de la Révolution doivent donc savoir qu’il faut rester ferme dans la lutte pour soutenir les éléments de pouvoir et transmettre cette persévérance aux générations futures. »

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV