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L’entité sioniste est née du terrorisme et s’est piégée dans ses actions terroristes, avertit le commandant en chef du CGRI

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le général de division Hossein Salami, commandant en chef du CGRI. (Archives)

Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a qualifié le régime sioniste d’entité née du terrorisme, affirmant que le régime deviendra progressivement la proie de ses propres transgressions.

Le général de division Hossein Salami a fait ces remarques lors d’un événement organisé dans la capitale Téhéran à l’occasion de la Journée nationale des journalistes, lundi 5 août.

« L’entité sioniste est née du terrorisme et ne possède aucun des éléments pour être une nation », a-t-il déclaré.

Le commandant en chef du CGRI faisait référence à l’émergence du régime dans la région de l’Asie de l’Ouest en 1948, suite au déplacement de centaines de milliers de Palestiniens dans une guerre fortement soutenue par l’Occident.

Depuis cette année-là, le régime se livre à des actes de terreur quotidiens contre les nations de la région, à la fois pour combattre l’opposition populaire à son existence imposée et pour étendre les zones sous son occupation.

« Par ses violations meurtrières récurrentes, le régime sioniste s’est entouré d’un tourbillon de feu », a fait remarquer le général Salami parlant de l’assassinat ciblé de nombreux scientifiques nucléaires iraniens dans le passé et de celui d’Ismaïl Haniyeh, le chef politique du Mouvement de résistance palestinien Hamas, le 31 juillet, à Téhéran.

« Ces [atrocités] sont cependant des fosses qu’ils [les sionistes] ont creusées eux-mêmes, et dans lesquels ils s’enterreront progressivement », a-t-il souligné. « Une fois qu’ils auront reçu une réponse forte, ils comprendront qu’ils ont commis une erreur de calcul. »

Ces propos font écho à ceux tenus par l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei au lendemain de l'assassinat de Haniyeh. Il a mis en garde le régime contre un « sévère châtiment », soulignant qu’il est du devoir de la République islamique de venger le sang du chef de la Résistance palestinienne.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV