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Des militaires israéliens blessés lors d’affrontement avec les juifs ultra-orthodoxes

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Des policiers israéliens tentant de déloger par la force des manifestants ultra-orthodoxes qui protestent contre leur enrôlement dans l'armée, le 18 mars 2024. ©AFP

Des sources israéliennes ont fait état d’un affrontement violent entre un certain nombre de juifs ultra-orthodoxes et des militaires de l’armée sioniste.

Le journal israélien Yediot Aharonot a rapporté, mardi 16 juillet, qu’un groupe de juifs ultra-orthodoxes (haredim) avaient attaqué deux militaires de haut rang de l’armée israélienne dans la ville Bnei Brak dans les territoires occupés de la Palestine. À la suite de l’attaque, les deux militaires israéliens ont été blessés.

En Israël, le service militaire est obligatoire, mais les juifs ultra-orthodoxes peuvent bénéficier d’exemption au motif qu’ils consacrent leur temps à étudier les Écritures saintes du judaïsme.

Quelques semaines plus tôt, la Cour suprême du régime israélien a ordonné que les haredim devraient s’enrôler dans l’armée comme tout autre israélien.

Le parquet israélien a exigé qu’au moins 3 000 haredim soient appelés au service militaire, ce qui a suscité leur indignation.

Les haredim ont exprimé à plusieurs reprises leur opposition au décret de la Cour suprême. Ils disent préférer mourir plutôt que de rejoindre l’armée.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV