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Deux nouveaux satellites de fabrication nationale, Kowsar et Hodhod, ont été dévoilés

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les satellites iraniens Kowsar et Hodhod. ©Tasnim

Lors d’une cérémonie qui s’est tenue dimanche 9 juin, deux nouveaux satellites iraniens de fabrication nationale, Kowsar et Hodhod, ont été dévoilés. Cet événement a réuni des dirigeants du secteur privé afin de rendre hommage aux efforts du feu président iranien Ebrahim Raïssi dans le domaine spatial.

Le satellite Kowsar sera lancé cet automne par la fusée russe Soyouz qui le placera en orbite à une distance de 500 kilomètres de la Terre.

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Ce satellite polyvalent sera utilisé dans divers domaines tels que l’agriculture, la cartographie et la délimitation. Équipé de deux caméras, il sera capable de capturer des images de haute résolution avec une précision de 3,45 mètres.

En février 2023, l’Iran a réussi à mettre en orbite le satellite de recherche Pars-1 de fabrication nationale, lancé par une fusée Soyouz depuis le port spatial russe de Vostochny.

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Cela était survenue un mois après que Téhéran avait placé en orbite le satellite de recherche Mahda, ainsi que les satellites Keyhan-2 et Hatef-1 par le lanceur iranien Simorgh (Phoenix).

En dépit des mesures restrictives mises en place par les pays occidentaux au cours des dernières années, l’Iran a considérablement avancé dans le domaine des recherches spatiales. Grâce à ces avancées, l’Iran figure désormais parmi les dix pays au monde capables de concevoir et de mettre en orbite des satellites.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV