Ce 15 mai nous assistions au 76e anniversaire de la « Journée de la Nakba » et le labyrinthe des crises de Tel-Aviv, une histoire qui se répète, mais avec des résultats différents.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a publié une déclaration à l’occasion de la Journée de la Nakba, qui marque l’anniversaire de l’établissement de l’entité illégitime d’Israël.
Dans une déclaration publiée, le mardi 13 mai, le ministère des Affaires étrangères a exhorté les gouvernements et les organisations internationales d’œuvrer sérieusement pour la fin de l’occupation du régime sioniste, ses crimes et ses agressions continus contre les Palestiniens.
« Le 14 mai 1948 marque le début de la période calamiteuse de l’occupation de la Palestine et de la violation flagrante des droits du peuple opprimé, en particulier de son droit à l’autodétermination, qui a eu pendant 76 ans des conséquences néfastes pour la région et pour le monde musulman, si bien que cela s’est transformé aujourd’hui en une blessure profonde et douloureuse. »
À cet égard, le ministère des Affaires étrangères a insisté sur la position ferme de la République islamique d’Iran (RII) envers la cause palestinienne - étant au premier rang des enjeux du monde islamique - et du régime factice et illégitime sioniste. Elle apporte son soutien à part aux luttes du peuple palestinien pour sa liberté et exprime une fois de plus sa solidarité avec la nation palestinienne. »
Le débat de ce mercredi 15 mai se penche sur cet anniversaire avec l’intervention d’Ayssar Midani, analyste politique franco-syrienne et Bernard Cornut, expert français en énergie et spécialiste du Moyen-Orient.