Le chancelier allemand, Olaf Scholz, a réaffirmé que le nucléaire n’avait pas sa place dans le bouquet énergétique du pays, tandis que l’Italie s’est engagée à accélérer son intégration afin de réduire les coûts, de sauver l’économie et de favoriser la transition verte.
La semaine dernière, le président français, Emmanuel Macron, s’en est pris à l’Allemagne pour sa position, accusant Berlin de s’opposer délibérément à l’acceptation croissante du nucléaire en Europe.
L’analyste Jean-Maxime Corneille commente le sujet.