Onze cas supplémentaires de lésions cérébrales traumatiques ont été identifiés à la suite d’une série d’attaques à la roquette et au drone contre les troupes américaines en Syrie fin mars, selon le porte-parole du Commandement central américain.
Les nouveaux cas portent le nombre de membres du personnel américain, blessés lors des attaques, à un total de 25, dont un entrepreneur américain tué dans une installation à Hassaké située dans le nord-est de la Syrie le 23 mars.
Le 24 mars, plus de 20 roquettes ont été tirées contre deux avant-postes américains illégaux près du champ pétrolifère d’al-Omar et du champ gazier de Conoco dans la province syrienne de Deir ez-Zor.
Une semaine après les attaques contre des bases illégales américaines, le Pentagone a annoncé que six militaires avaient reçu un diagnostic de lésions cérébrales traumatiques, avertissant également que le chiffre risque de s’alourdir.
Lire aussi : Syrie : le CGRI a promis une réponse « forte et décisive » au régime israélien
« Tous les membres du personnel à proximité d’une explosion sont soumis à un dépistage des lésions cérébrales traumatiques. Ces blessures supplémentaires ont donc été identifiées lors des examens médicaux post-attaque », a déclaré le porte-parole du Pentagone, le général de brigade Patrick Ryder, lors d’un point de presse le 30 mars.