Appelant à la « désescalade » dans la région, la France s’est dit être « au côté de ses alliés américains » après les frappes aériennes menées par les États-Unis en Syrie.
« La France a pris connaissance des frappes ciblées conduites la nuit dernière par les États-Unis dans l’est de la Syrie, en réponse aux très graves attaques conduites ces derniers jours contre plusieurs sites de la Coalition internationale contre Daech en Irak, notamment à Erbil le 15 février », dit le Quai d’Orsay dans un communiqué.
Comment peut-on analyser cette prise de position française ?
André Chamy, juriste international s’exprime sur le sujet.