Mega ratage d'Israël face à la DCA multicouche syrienne : selon des sources syriennes, les missiles de croisière tirés depuis le ciel de Tripoli au nord du Liban contre Hama et Homs sont tombés dans les filets de la défense aérienne syrienne. A peine quelques heures après de nouveaux verbiages de Netanyahu contre l'Iran et la Résistance en Syrie l'Armée de l'air sioniste a tenté de frapper Masyaf a louest de Hama et Homs où l'armée syrienne mène en ce moment même des opérations de ratissage anti Daech. Coup sur coup les missiles Delilah se sont heurtés à la DCA syrienne .
Pour la première fois depuis le début de la campagne défaite dite Guerre dans la guerre sioniste l'armée de l'air israélienne n'a pas osé lancer les frappes depuis le ciel du sud du Liban envoyant ses F-16 dans l'espace aérienne de Tripoli. La Raison? Des batteries de missiles Khordad-3 made in Iran de l'armée syrienne. La quasi totalité des missiles tirés, selon SANA ont été interceptés alors que les cibles visées, deux sites de recherches de Masyaf n'ont subi que des dégâts matériels. selon des sources syriennes, les missiles de croisière tirés depuis le ciel de Tripoli au nord du Liban contre Hama et Homs sont tombés dans les filets de la défense aérienne syrienne.
La frappe a été lancée alors même que Hama est le théâtre d'une vaste opération de ratissage contre les terroristes soutenus par la Turquie dont le président a appelé vendredi Israël à davantage de coopération avec Ankara. L’armée syrienne a lancé en effet une nouvelle opération de nettoyage contre les cellules du groupe terroriste Daech dans le triangle Hama-Alep-Raqqa. L'opération est soutenue par les forces aérospatiales russes. À l'heure actuelle, les affrontements entre l'armée et les daechistes ont entraîné la mort d'au moins 7 terroristes. Au second semestre 2020, Daech a considérablement accru ses activités dans le désert central de la Syrie. Des cellules de Daech achèteraient des fournitures, y compris des armes, à des combattants soutenus par les États-Unis basés dans la région d'al-Tanf et exploiteraient le manque de contrôle à la frontière syro-irakienne pour recevoir le soutien d’un de leurs nouveaux réseaux basés en Irak.
Pendant ce temps, des sources fidèles aux militants soutenus par la Turquie affirment que l'armée syrienne a commencé à mobiliser ses forces dans la partie sud d’Idlib. L'armée aurait déployé de nouveaux renforts dans le camp de Jurin et dans la ville de Shat'ha. Les terroristes affirment que ces développements font partie de la préparation d'une opération offensive dans les plaines d'al-Ghab.
Cette démonstration de force de pacotille signée Israël se fait alors meme que le commandant en chef de l'armée de terre israélienne a failli d'être abattu jeudi par des manifestants sionistes. Les manifestants israéliens ont bloqué des rues de Qods après l'arrestation d'un déserteur ; un policier, frappé avec une bouteille, a nécessité une prise en charge médicale.
Des milliers de manifestants ultra-orthodoxes opposés au service militaire obligatoire ont bloqué les routes près de l’entrée principale de Qods ce mardi 22 décembre pour protester contre l’arrestation d’un étudiant déserteur de Yeshiva.
La manifestation a ralenti la circulation automobile et perturbé le service de tramway, les manifestants s’étant heurtés à la police qui a fait usage des canons à eau pour la première fois pour les disperser.
Les manifestants ont lancé des Cocktail Molotov sur les policiers.
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La police a déclaré qu’un officier avait nécessité une prise en charge médicale après avoir été frappé à la tête avec une bouteille lancée sur les policiers au pont des Cordes. Deux autres agents de police ont été blessés au cours d’affrontements.
Le commandant des forces terrestres militaires de l’armée israélienne, le général de division Yoel Strick, a été entouré par des contestataires qui manifestaient près du pont des cordes à l’entrée de Qods. Les manifestants ont encerclé la voiture de Strick et l'ont embarrassé à tel point qu'il a sorti son arme à feu en le dirigeant sur les manifestants. Pris de panique, ce général de l’armée israélienne a finalement été secouru par l'Unité spéciale de patrouille de la police.
Le chef d’état-major Aviv Kohavi, a ensuite exprimé son soutien à Strick et a condamné les manifestants pour leur « comportement sauvage et sans retenue », selon un communiqué de l’armée israélienne.Les manifestants, membres de la Faction de Qods, protestaient contre l’arrestation d’un jeune de 20 ans qui ne s’était pas rendu dans un bureau de recrutement pour obtenir le report de sa conscription obligatoire.
