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Deux mois et demi après le méga matraquage médiatique sur les accords de normalisation avec le régime sioniste, ce lundi 30 novembre, Bahreïn a condamné dans « les termes les plus vifs » l’attentat contre la vie de l’Iranien Fakhrizadeh, en contraste total avec sa position et sa rhétorique habituelles, et ce, dans le sillage des Émirats et de la Jordanie, alliés militaires d’Israël, qui appellent, eux, au secours pour que « le Moyen-Orient, déjà en proie aux tensions, n’en franchisse pas un autre palier de violence ».
Comment analyser cette prise de position de ces pays arabes et qui va accompagner Israël dans sa lutte contre l’Iran ?
André Chamy, juriste international s’exprime sur le sujet.
André Chamy:
« Les trois pays en question sont les complices objectifs de se qui ce passe par rapport à l’Iran.
Ces pays-là sont complices dans les complots contre les l’Iran, les manœuvres politiques diplomatiques et les pressions et les sanctions qui sont prises à l’encontre de l’Iran.
Tout ce qu’ils possèdent ces pays là de la tête au pied a été fabriqué à l’étranger ils sont incapables de fabriquer quoi que ce soit et aujourd’hui ils viennent faire un balai de larme mais en réalité ces des larmes de crocodile... »
