Un chercheur américain décrit le coronavirus comme une « arme biologique » et appelle l’Iran à être « très prudent » quant à toute offre d’aide des États-Unis pour contrôler l’épidémie de Covid-19 dont l’origine reste un mystère pour les scientifiques.
Dans une interview exclusive à l’agence de presse iranienne Tasnim, l’écrivain et chercheur américain, Michael Jones, a déclaré que la pandémie de coronavirus était provoquée par un « réseau mondial de contrebande d’armes biologiques », impliquant selon lui, Winnipeg au Canada, l’Université Harvard aux États-Unis et Wuhan en Chine.
« Les États-Unis avaient délocalisé en partie leur programme de développement des armes biologiques en Chine, mais les Chinois payaient des professeurs d’université américains comme Charles Lieber à l’Université Harvard pour faciliter la contrebande de ces matières dangereuses, qui se sont retrouvées finalement à Wuhan », a déclaré Michael Jones à l’agence Tasnim.
« Jusqu’à ce que la source de la pandémie devienne claire, l’Iran devrait se méfier de toute offre d’aide de l'Amérique », estime le chercheur américain Michael Jones.
Selon M. Jones, à ce stade, les chercheurs ne savent pas si ces armes biologiques se sont répandues accidentellement parmi la population en Chine ou si elles ont été délibérément utilisées dans le cadre d’une attaque contre l’économie chinoise.
Michael Jones estime que l’Iran devrait se méfier de toute offre d’aide américaine pour lutter contre la Covid-19. Le chercheur américain a ajouté : « En réalité, la principale aide que l’Amérique peut apporter à l’Iran pour lutter contre l’épidémie est la levée de toutes les sanctions, mais le couple Mnuchin/Pompeo ne montre aucune volonté de le faire. En outre, si l’Iran a été soumis à une attaque biologique, l’implication des États-Unis pour apparemment aider les Iraniens ne serait que le début de nouvelles attaques. En fin de compte, la situation actuelle de l’épidémie à New York indique clairement que le gouvernement américain, même s’il était sincère, est incapable de gérer la crise dans son propre pays. »