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Syrie: l'accord sur les zones de désescalade violé de nouveau par les terroristes

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
La ville de Ghouta orientale dans la banlieue de Damas. ©Sputnik

Selon la récente édition électronique du quotidien syrien Al-Watan les terroristes opérant dans la localité de la Ghouta orientale ont lancé, mardi 27 février, des attaques aux roquettes contre une région à Damas faisant un mort côté civil.

Une autre offensive a également eu lieu dans la matinée du 27 février contre Damas ce qui prouve que les terroristes violent toujours l'accord sur les zones de désescalades en Syrie. La ville de Jaramana, située dans la banlieue sud-est de Damas a également fait l'objet des attaques aux mortiers des terroristes ayant infligé des dommages considérables aux installations et aux infrastructures syriennes.

Depuis un mois, les groupes terroristes lancent des attaques aux roquettes contre une grande partie des zones résidentielles de Damas suite à quoi plusieurs citoyens syriens ont été tués ou blessés.

Le Conseil de sécurité des Nations unies a voté, samedi 24 février, à l’unanimité une résolution sur l’instauration d’un cessez-le-feu humanitaire en Syrie d’une durée d’un mois. Sous pression de la Russie, les groupes terroristes ne sont pas concernés par cette trêve.

La Ghouta orientale est une zone stratégique près de la capitale, Damas, que l’armée syrienne souhaite nettoyer de la présence des terroristes.

L’avant-texte de cette résolution corédigé par le Koweït et la Suède a été présenté, jeudi 22 février, au Conseil de sécurité, mais le vote a été ajourné, sur fond de désaccord des membres.

 

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV